1. Joyeux anniversaire !


    Datte: 07/03/2018, Catégories: fh, fff, fhh, intermast, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, Auteur: Jones.Indiana, Source: Revebebe

    ... Ôtant le crayon qui tenait ses cheveux en chignon haut, elle fait glisser la mine le long de ses jambes, dévoilant ses bas sous sa jupe fendue. Le sexe de T. commence à durcir sous son jean. La vision de cette bite grossissant, de ce membre se gorgeant de vie, éveille l’imagination de C. Elle a envie de libérer cette queue qu’elle aime tant, de caresser ces couilles pleines de foutre, d’enrober de sa bouche cette solide barre de chair. Elle choisit ce moment pour laisser tomber les bretelles de sa robe sur ses épaules. Celle-ci glisse jusqu’à sa taille. T., ne tenant plus, la retourne et dégrafe son soutien-gorge. La prenant par les hanches, il plaque les fesses de C. contre son sexe. En posant les mains sur ses seins, il est étonné de sentir un ruban sur ses tétons. Elle se retourne en riant, présentant son buste à son homme :
    
    — Eh oui, c’est moi ton cadeau ! Nous allons faire absolument tout ce que tu veux, du moment que cela assouvit l’un de tes fantasmes.
    
    T. caresse les cheveux de C. puis lui plaque brutalement le visage contre son sexe en érection.
    
    — Commence par me sucer.
    
    Elle est heureuse d’enfin assouvir la pulsion qui l’émoustillait depuis plusieurs heures. Sa langue remonte doucement la bite de T., avant que ses lèvres ne l’enrobent. Elle ne résiste pas au plaisir de se caresser pendant qu’elle lui taille une belle pipe d’anniversaire. Elle enfonce cette bite jusqu’au fond de sa gorge, la garde en bouche jusqu’au bout de son souffle, puis se remet à ...
    ... la branler énergiquement de ses lèvres. Lorsque sa queue est devenue trop tendue, trop gonflée de plaisir pour continuer, T. écarte la tête de sa femme, la tenant par les cheveux. Elle, à genoux devant lui, le visage maintenu en arrière, ferme les yeux, attendant que le sperme vienne remplir sa bouche et perler sur son visage. T. jouit enfin, dans un râle de soulagement.
    
    — J’ai réfléchi. Mon fantasme serait que pendant une semaine, tu te fasses baiser par le maximum d’hommes que tu croiseras et que tu ne me caches aucun détail.
    
    La journée commence banalement. C. se demande bien comment elle arrivera à mettre n’importe quel passant dans son lit. C’est assez peu courant de se jeter dans les bras du premier venu. Elle se rend compte, alors qu’elle prend le métro, qu’elle se comporte étrangement : cambrée, sûre de son charme, elle regarde chaque homme comme une proie. Le jeu la désinhibe : si l’un se montre farouche, le prochain acceptera peut-être. Et puis, après tout, le seul qui l’intéresse vraiment est justement celui qui lui a proposé de jouer. Arrivée au travail, elle s’amuse de cette nouvelle quête, tout en se disant que le défi risque d’être compliqué à relever. À la pause, elle tente sa chance : un de ses collègues a toujours montré un certain émoustillement à la vue ses mini-jupes. Elle se dit que c’est le moment de lui en donner plus et de mettre le reste de ses sens en émoi. Elle tente une approche : en riant, elle lui raconte le cadeau que son amoureux lui a ...
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