Déficience intellectuelle
Datte: 03/11/2024,
Catégories:
fh,
handicap,
neuneu,
amour,
Masturbation
Oral
pénétratio,
rencontre,
Auteur: Anotherworld, Source: Revebebe
... Stop » risque d’anéantir cette femme trop fragile, je l’aime et ne pourrai pas supporter de la voir souffrir. « Encore », c’est prendre un très gros risque par rapport au monde extérieur, sa famille, ma famille plus tous les autres qui ne comprendront pas.
Ce que je veux moi ? Rendre Marie-Ange heureuse me rendra heureux. Elle a raison, c’est bien ça le plus important, ce que l’on veut nous.
— Je n’aurais pas dû te faire de la peine, Marie-Ange, je m’en veux de t’avoir fait ça.
— Ce n’est pas grave, on pleure, on rit, c’est comme ça. Je veux bien un autre chocolat, il est très bon le tien.
Je reviens bientôt m’asseoir à ses côtés avec un autre bol plein de ce délicieux cacao.
— Quand j’étais petite, tu m’appelais « mon Ange », je trouvais ça gentil.
— Tu t’en souviens mieux que moi. On devait avoir sept ou huit ans à l’époque, après tu es partie.
— Quand je revenais ici, je regardais toujours si tu étais là, parfois tu étais dans la voiture avec ton père, mais maman ne voulait pas que je sorte.
Reprenant son bol, elle boit tranquillement son breuvage sans cesser de me regarder, elle en a plein autour des lèvres, elle est rigolote. J’éclate de rire, elle lit dans mes pensées…
— Pourquoi tu ris comme ça ?
— Tu as raison, tu es mon Ange.
Elle me gratifie d’un de ses sourires désarçonnant.
— Tu es mon Ange et je t’aime.
— Je le sais que tu m’aimes, je l’ai bien senti l’autre fois. Moi aussi je t’aime.
Et une nouvelle fois, elle tend ses lèvres ...
... vers moi et nous nous embrassons à nouveau comme au premier jour. Un baiser passionnel pendant lequel nous oublions tout. Il n’y a plus qu’elle et moi et notre envie d’être bien ensemble… ça dure comme ça une éternité, et quand nos lèvres se séparent enfin, ses yeux brillent de mille feux, comme des diamants.
— On pourrait aller chez moi, on serait plus tranquilles.
À cette idée, la voici maintenant qui trépigne. Tandis que je nettoie la vaisselle, elle soupire d’impatience. Puis nous traversons la cour comme deux enfants espiègles.
Une fois dans ma tanière, elle devient furie, j’ai à peine le temps de refermer le loquet qu’elle se jette sur moi. Ses mains baladeuses glissent partout, sa bouche se pose partout, elle glisse les mains dans mon caleçon et me presse les fesses, elle est comme folle et a tôt fait de me déshabiller entièrement. Et la voici à genoux devant moi, qui me suce la queue avec un appétit féroce. Elle me lèche avec beaucoup de savoir-faire et de dextérité, manifestement les choses du sexe n’ont pas de secret pour elle. Mais elle semble si pressée que je dois mettre le holà :
— Doucement, doucement, tu vas me faire jouir trop vite.
Elle s’arrête, visiblement surprise de ma requête. Je lui apprends qu’en amour il faut prendre son temps et que ça ne sert à rien d’aller trop vite, il faut considérer les choses avec délectation. Peut-être n’est-elle tombée jusque-là que sur des garçons qui avaient hâte d’en découdre ?
Je l’entraîne sur le lit et ...