Déficience intellectuelle
Datte: 03/11/2024,
Catégories:
fh,
handicap,
neuneu,
amour,
Masturbation
Oral
pénétratio,
rencontre,
Auteur: Anotherworld, Source: Revebebe
... chemin sablonneux qui mène à la plage en faisant du rodéo entre les bosses.
— Waouh ! Ouh, ouh. À moi la mer !
… avant de planter bêtement la voiture dans une dune.« Chiotte, mon pote, fallait bien que toute cette folie s’arrête ».
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Cette histoire aurait dû en rester là, elle ne portait pas trop à conséquence, car nous n’avions finalement pas fait grand-chose, mis à part quelques caresses et quelques baisers. C’étaient surtout ces derniers que je regrettais, car ils avaient été doux, sensuels et passionnés.
Mais j’allais bientôt m’apercevoir que je n’étais plus vraiment maître de mon destin.
Pourtant les jours qui suivirent je pris bien soin de ne jamais croiser Marie-Ange. Le temps passait, elle finirait probablement par oublier, passer à autre chose. Elle n’allait pas s’accrocher à moi, je n’en valais pas la peine.
C’est à cette époque que j’ai trouvé un job, magasinier chez un grossiste de matériel électrique, pas spécialement enthousiasmant, mais c’était plus l’occasion de me faire un peu de tunes. Bosser a toujours été pour moi très pénible. Finies, les grasses matinées, il fallait se lever tôt pour prendre le train et, une fois arrivé sur place, faire profil bas, l’ordre et la discipline ça n’a jamais été mon fort. Et, même le samedi, je travaillais, finies les sorties du vendredi soir. Je faisais souvent la gueule et j’étais d’humeur acariâtre lorsque je revenais tard le soir chez mes vieux.
Mais cet éloignement forcé de la maison ...
... faisait aussi que j’avais peu de chance de rencontrer à nouveau Marie-Ange.
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Quelque temps plus tard, me voici chez moi, peinard, pour une fois j’ai pu faire grasse matinée, il est presque 11 heures. J’aurais bien poussé plus loin ma somnolence, mais un livreur s’acharne rageusement sur la sonnerie, un con de facteur ou quelque chose comme ça. Il n’a qu’à laisser un récépissé, on ira le chercher son colis à la poste ! Mais non, le bougre, il continue.
Finalement, je m’arrache du lit à contrecœur, j’enfourne mes mules, mon peignoir et vais à la rencontre de cet importun.« Vas-y, mon gars, insiste encore. Allez, encore un p’tit coup de sonnerie pour la route ! »
Mais, derrière le portail, l’emmerdeur n’est autre que… Marie-Ange. Elle est là les bras ballants, le visage en larmes. Elle danse d’un pied sur l’autre.
— Mais qu’est-ce qu’il y a, Marie ?
Et comme elle ne répond pas :
— Ne reste pas là, entre !
J’ouvre le petit portillon, mais une fois celui-ci refermé derrière elle, elle reste figée dans la cour et ses larmes ne font que redoubler.
— Viens avec moi dans la cuisine, je vais te préparer un chocolat… et nous allons discuter.
— Un chocolat chaud avec deux sucres, me dit-elle entre deux sanglots.
— Avec deux sucres ? Mais chez nous, le chocolat est déjà hyper-sucré.
— Avec deux sucres.
— Comme tu voudras.
Je la fais asseoir dans la cuisine de mes parents. Les grosses larmes qui continuent de couler le long de ses joues me font mal au ...