1. Les malheurs de Clotilde Ch. 06


    Datte: 01/11/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... je me mets à monter et descendre dessus. Lentement, sensuellement, feignant des petits gémissement de plaisir, que la grimace de douleur que j'ai continuellement fixé sur mon visage, contredit.
    
    - J'aime votre pénis... monsieur...
    
    Ma phrase fait rire Meyer.
    
    - Soit plus grossière, tutoie-moi quand tu aime, salope.
    
    Ça me révolte, mais j'obtempère.
    
    - J'aime ta bite!
    
    Meyer ouvre la bouche, j'approche la mienne, je fais rentrer ma langue. Je lui roule une pelle, geignant sourdement. Geignement pouvant passer pour être de plaisir, mais qui sont en réalité de douleurs, d'effrois.
    
    C'est lui qui met fin à notre pelle.
    
    - Défonce-moi de ta grosse bite, j'adore!
    
    Je vais de plus en plus vite sur Meyer, pleurant comme une folle.
    
    - J'adore ton gros sexe dans ma chatte!
    
    Il me saisit aux hanches, me fait aller de plus en plus vite sur lui. Puis il m'enfonce une dernière fois sur son sexe, jouissant en geignant. Je sens son sperme remplir mon utérus. Une éjaculation de plus. Je me retire, quelques gouttes de semence coule de mon vagin sur sa cuisse. Je m'agenouille devant lui. Je lèche le sperme sur lui, avant de le prendre en bouche et de le nettoyer. Heureusement, il n'y a pas le goût de ma cyprine, car depuis le début, quelques soit le degrés de violence, je n'ai jamais mouillée. Puis une fois qu'il est bien propre, je me remets à quatre pattes et me dirige vers Jérôme. La voix de Meyer résonne, me faisant plaisir.
    
    - Tu as aussi ma voix.
    
    A quatre ...
    ... pattes, je m'approche de Jérôme. Il me regarde mais ne me dis rien.
    
    - Monsieur, j'ai envie de vous. Voulez-vous bien de moi?
    
    Comme puis-je me rabaisser comme cela?
    
    - Oui, je veux bien de ton cul. Tu t'empales de face que je regarde ton joli visage pendant que je t'encule, enfin, je veux dire pendant que tu t'encule. J'aimerais aussi de jolies phrases gentilles pour me montrer à quel point tu aimes.
    
    - Merci monsieur. Et d'accord monsieur.
    
    Comme pour Meyer je me redresse et j'enjambe Jérôme. Je passe mes mains entre mes jambes, pour tenir son pénis dressé. La seule différence sera la voie choisit. Et la douleur que je vais ressentir aussi. Je pose mes mains sur les épaules de Jérôme, et je me laisse lentement descendre sur lui. Je dois me battre pour ne pas ralentir quand son gland rencontre mon trou-du-cul.
    
    Je gémis quand le gland du mâle écarte mes fesses et touche mon petit trou martyrisé, boursouflé, fissuré, saignant et à vif. Mais je continue ma descente, le faisant pénétrer en moi. L'attraction terrestre, le poids de mon corps, tout concoure pour que je m'empale à fond sur le pénis de Jérôme. Je n'ai cessée de gémir de douleur tout le temps de cette horrible descente. Le pénis de l'homme écartant largement mon intérieur en piteux état...
    
    Je suis enfin assise sur lui, complètement empalée, mes mains sur ses épaules. Je me redresse, le faisant ressortir de moi, ce qui est aussi douloureux que l'intromission, puis de nouveau je redescend.
    
    - J'aime ta queue ...
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