Les malheurs de Clotilde Ch. 06
Datte: 01/11/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... le fixe dans les yeux, il me sourit, il aime cela, je ne sais pas si c'est mon imagination, mais il a l'air un peu étonné.
Je fais ma fellation la plus baveuse possible, me servant de ma langue devenue agile, à force de me faire violer la gorge. La caresse de ses bourses a l'air de lui faire de l'effet. Greg soupir d'aise. Je me concentre et fais rentrer son gland, puis son sexe dans ma gorge. Je lui prodigue une gorge profonde que j'espère merveilleuse. Je me sens pute, je suis pute, mais la faim est plus forte que ces considérations basique.
Rapidement il attrape ma tête, j'accélère alors mes mouvements. Quand son sperme jaillit sur ma langue, je garde tout sur mon organe linguale. Je me retire de son chibre, j'ouvre ma bouche. Lui montrant sa semence mélangée à ma salive. Je referme ma bouche, puis avale le tout. Je ne fais plus de grimace de dégoût, habituée que je suis, maintenant, à avaler la semence masculine. J'ouvre de nouveau la bouche, sans avoir cesser un seul instant de le fixer dans les yeux. Un fixage de soumise, pas de défi. Il acquiesce. J'avale de nouveau son sexe à demi dur, je le nettoie de toute tâche de souillure. Quand j'enlève ma tête, sa bite est toute propre, rutilante.
- C'est bien, ma petite putain, tu auras ma voix. Appelle-nous monsieur, c'est plus sympa, plus intime que maître. Allez au suivant.
Je sors de sous la table, je me dirige vers Meyer. Je regarde le sol, avec soumission.
- Monsieur? Puis-je faire l'amour avec vous? Peu ...
... importe l'orifice, cela m'ira, monsieur.
- Tu vas t'asseoir sur moi, face à moi, avec ma bite dans ta chatte.
- Bien monsieur. Je peux donc faire l'amour avec vous?
- Oui. Et regarde-moi dans les yeux le temps de cette baise.
- D'accord, monsieur.
Comme pour Greg je défais les boutons de sa braguette. Mais pour lui, je descend pantalon et caleçon sur les chevilles. A lui aussi, son sexe est mou. Je le prends en bouche pour le faire durcir. Une fois que son pénis m'occupe entièrement, je le retire de ma cavité buccale. Je me redresse, geignant de douleur, tant mon corps n'est que plaie. J'enjambe Meyer, mon ventre plat contre son nez. Je descend sur son sexe. Je suis humiliée intérieurement, quand je suis obligée de le prendre en main pour le faire tenir bien droit. Je lâche un petit gémissement quand son gland touche les lèvres tuméfiées de mon sexe. Meyer saisit mes hanches avec ses mains. Je le regarde, ne comprenant pas.
- J'espère que tu aimeras autant que moi petite putain.
- Je n'en doute pas monsieur.
J'espère que j'ai bien compris ce qu'il me demande implicitement. Il lâche mes hanches pour pétrir mes seins. Je gémis, ma poitrine est violette à force d'être malmenée, mes tétons sont extrêmement douloureux à force d'être tirés et mordus. Néanmoins, tenant toujours le pénis de Meyer, je le fais entrer en moi. Je lâche un petit cri de douleur contenu, tant mes chairs intimes, massacrés, tuméfiés et à vif me font mal. Puis, une fois le sexe en moi, ...