Cigarette et vodka - Histoires de Sexe

Cigarette et vodka

... sers une vodka et voilà…

Et voilà ! Original, enlevé, du naturel en veux-tu en voilà. Bravo, Jul ! Grande classe. Pfff.

— Tu me donnes envie d’un verre. Je vais me servir un whisky.

Et comme une gourde, je le regarde se lever, sa belle queue dressée vers moi. Alexis n’a pas flanché un seul instant. Dur comme une matraque tout le temps. Et ses yeux sur moi ! Ohlala…

— C’est surtout que je ne sais pas trop quoi faire…

Alexis est en peignoir. Enfin, si l’on veut. Léger peignoir blanc entièrement ouvert. Et son sexe épilé est toujours dressé. Dans sa position assise, le gland de la superbe queue de mon transgenre, dépasse son nombril.

— Cool, Jul. Commence par des questions si tu veux.
— Oui.

J’en ai bien une. Allez. Lance-toi.

— Tes seins. Ils bandent ou… enfin, tu vois ce que je veux dire.
— Oui, Jul. Et donc, tu les trouves comment mes seins ?
— Très beaux. Je suis jalouse.

Nous parlons un moment des traitements. C’est lui qui en parle et si ça ne m’intéresse pas vraiment, je l’écoute. Je l’écoute non sans remarquer que la colonne si dure il y a peu s’est quelque peu effondrée.

— Tu es très beau en tout cas. Ou peut-être que tu préférerais que je dise belle ?

Tout en parlant, je farfouille dans la boîte où je range mon petit fourbi informatique. Ah ! Voilà.

— Tu as déjà choisi en m’appelant Alexis. C’est bien comme ça. Et merci.

J’appuie sur une touche de la minuscule télécommande, tout en regardant l’écran XXL de ma télé, qui ne sert ...

... que pour le Net. J’ai aussitôt l’impression que mon propre visage me saute à la figure. En tout cas, le zoom fonctionne.

— Oh cool. Merci, Jul.
— De rien.

Je règle le zoom afin de diminuer un peu ma propre image. Mon visage et mes épaules. Voilà.

— Ça te va comme ça ?
— Oui Jul, parfait.

Quand je regarde la cam d’Alexis, je rougis comme une collégienne.

— Eh bien…
— Oui Jul.
— À ce point-là ?
— Eh oui. Tu me plais beaucoup.
— Je n’ai pourtant rien de spécial.

À peine mon visage agrandi, la colonne avait retrouvé toute sa grandeur.

Mon rire est un peu tendu. Il est vrai que je suis gênée et pas qu’un peu. Mais un peu flattée également. Évidemment. Il faut être honnête et ravaler sa modestie.

— Tu veux que j’essaie… de te décrire à ma manière ?
— Si tu es sincère, oui.
— Je ne sais pas trop mentir, alors. J’y vais ?
— Oui. Et, Alexis ?
— Oui ?
— Tu veux te caresser ?
— Tu voudrais que je me branle ?
— Oui.

Ce sourire. Ce sourire féminin et cette longue main sur une queue bien virile. J’ai osé lui demander de se caresser. J’en ai très envie.

— Jolis yeux bleus. J’aime bien ton nez. Un peu trop… non, il est joli. Fin et droit. Visage un petit peu trop long. Un peu trop carré. Non, rectangulaire. C’est ta mâchoire et ton menton qui sont un peu carrés. Je patauge là. Tu vas me coller une beigne…

Je le regarde se masturber et il le sait. Je suis maintenant excitée et il l’a bien compris. Je n’en ai même pas honte.

— Non. C’est pas si ...