1. La soubrette


    Datte: 20/07/2019, Catégories: fh, soubrette, facial, Oral fdanus, fsodo, journal, confession, Auteur: Justinsolo, Source: Revebebe

    ... où ma queue commence à prendre ses habitudes. Visiblement son but n’est pas de me faire jouir mais de s’exciter car elle suce avec une main qui s’active entre ses cuisses. Enfin, elle attrape le préservatif et le pose sur le sommet de mon gland. En experte, elle le déroule avec sa bouche. Du grand art… Contente d’elle, elle se redresse, me tourne le dos et trousse sa jupe. Je retrouve ses jolies fesses tandis qu’ayant saisi ma queue, elle s’accroupit sur moi et sans tâtonner elle s’empale. Elle est trempée une fois de plus ce qui me confirme ses assertions : elle mouille dès qu’elle suce…
    
    Lorsqu’elle m’a absorbé intégralement et que ses fesses reposent sur mes cuisses, elle marque un temps d’arrêt, le temps dans un soupir d’aise.
    
    — Putain, ça fait du bien par où ça passe.
    
    La même classe que fifille !
    
    Je regarde son dos où s’étale un tatouage représentant sur sorte de dragon.
    
    Elle commence à monter et descendre sur ma queue. Je ne bouge pas la laissant imposer son rythme. Puis je relève sa jupe pour mieux admirer son cul montant et descendant sur mon sexe. La houle de ses hanches fait son effet et je me sens raide comme la Justice… Mais le traitement d’avant déjeuner ayant entamé mes forces, je me sens capable de résister longtemps à la montée du plaisir. Elle, par contre, semble apprécier cette position car son halètement ne trompe pas… Elle accélère et je participe en venant à sa rencontre à coups de bassin. Elle gémit de plus en plus et bouge de plus en plus ...
    ... vite. Je suis le rythme et dans un couinement, elle interrompt la litanie de ses obscénités pour s’immobiliser, empalée à fond, le corps secoué de spasmes. Je m’immobilise également.
    
    — Putain, dit-elle de son langage délicat. Je viens de prendre mon pied…
    
    Elle se relève, fait demi-tour, puis face à moi un genou de chaque côté de mes hanches, elle s’empale de nouveau…
    
    Et elle reprend ses mouvements de yo-yo… Cette fois j’ai droit à une paire de seins que se balancent lourdement sous mes yeux. Je m’en saisis. Ils sont doux et les mamelons sont très larges et sombres. Je les agace de mes pouces tandis qu’elle gémit de nouveau en fermant les yeux.
    
    Elle bouge de plus en plus vite, cambrée. J’abandonne ses seins et pose mes mains sur ses fesses. Je les écarte doucement tandis que sa poitrine s’appuie sur mon torse. Un de mes doigts s’aventure et rejoint l’entrée de ses reins ? Son sillon est trempé et mon doigt pénètre dans son cul encouragé par une voix rauque.
    
    — Vas-y, mets-moi un doigt dans le cul, salaud, Ah c’est bon, c’est trop bon, Oui, vas-y…
    
    Mon doigt entre et sort, bientôt rejoint par un deuxième. Elle encourage toujours la manœuvre jusqu’au moment où elle arrête net ses mouvements, se relève et de nouveau me tourne le dos. Penchée en avant, elle a saisi ma queue et guide mon gland à l’entrée de reins. Puis lentement elle fait pénétrer le gland, s’arrête puis doucement, à petits coup de reins, elle s’empale lentement sur ma queue.
    
    — Ah putain, c’est ...
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