La soubrette - Histoires de Sexe

La soubrette

... pilonne vigoureusement encouragé par les mots orduriers qu’elle profère comme une litanie.

— Baise ta chienne, vas-y, défonce-moi, plus fort… Ah mon cochon, défonce-moi comme une pute…

Elle a le même langage que sa fille… Mais c’est très excitant. Au point que je sens le plaisir qui monte brutalement dans mes reins. Elle l’a senti aussi car elle se débat, se dégage et tombe à genoux sur le carrelage face à moi. Elle arrache le préservatif et m’engloutit juste au moment où je me déverse dans cette bouche accueillante.

Comme sa fille, elle avale jusqu’à la dernière goutte.

D’une langue mutine, elle lèche mon gland et le nettoie avec application.

— Ben, t’avais une grosse envie.

Elle se relève. Sa robe retombe et elle est présentable si ce n’est une certaine rougeur aux joues. Elle va tranquillement en cuisine, néglige de remettre sa culotte et reprend sa bière qu’elle se remet à siroter. Je la rejoins. Je suis en caleçon et décide de rester ainsi. Ensemble, de nouveau côte à côte, nous finissons mos bières.

— En tous cas, vous êtes une sacrée suceuse. Et une chaudasse de première. Prenez cela comme un compliment…
— Ah ça, je pourrais pas faire la pute : quand je suce ça me met dans tous mes états.
— C’est bon à savoir…
— Gros cochon…

Je jette un coup d’œil à la pendule. Il est midi.

— Ecoutez, on grignote quelque chose et on se remet au boulot… Ça va ?
— D’accord.

Elle m’aide à mettre deux couverts sur l’îlot qui dans la cuisine permet de ...

... déjeuner à deux voire trois. Je sors du frigo de la charcuterie, des viandes froides, des tomates du fromage et une bouteille de bordeaux entamée de la veille. Ensemble nous dévorons et en discutant de tout et de rien, nous vidons la bouteille de vin. Elle a de nouveau les pommettes rouges.

Devant le frigo je l’interroge sur ce qu’elle souhaite comme dessert.

— J’aurais bien une idée, dit-elle d’un air coquin.

Elle tend la main et la glisse dans mon caleçon… Je me laisse faire en refermant le frigo. Elle me caresse avec douceur et efficacité et je ne tarde pas à lui montrer l’efficacité de sa caresse. Elle s’interrompt et baisse entièrement mon caleçon.

— Mon dessert est en bonne voie constate-t-elle.

Elle se lève et me tirant par la queue, m’amène jusqu’au salon où elle me fait asseoir dans un fauteuil en cuir.

Puis, elle déboutonne son chemisier. Je la regarde faire en me masturbant doucement. Son chemisier finit au sol et elle s’attaque à son soutien-gorge qui suit le même chemin. Elle a une poitrine qui tombe un peu, mais qui ne manque pas de charme. Nul doute que sa peau très blanche y fait beaucoup. Elle se cambre, faisant saillir ses seins, puis se dirige, seulement vêtue de sa jupe noire et de son tablier, vers la salle de bain. Lorsqu’elle revient elle pose un préservatif sur l’accoudoir du fauteuil

— En faisant la salle de bain je suis tombé sur la réserve…

Elle s’agenouille de nouveau face à moi et je retrouve avec plaisir le refuge de sa bouche ...