La soubrette
Datte: 20/07/2019,
Catégories:
fh,
soubrette,
facial,
Oral
fdanus,
fsodo,
journal,
confession,
Auteur: Justinsolo, Source: Revebebe
... cuisine.
Lorsque je fais irruption dans le salon je reste coi. Je n’ai pas une femme de ménage mais une soubrette ! En effet, elle s’est mise en tenue de soubrette. Enfin, ce qu’elle croit être une femme de ménage dans son monde. Elle est en bas noirs, des Dim up qui s’arrêtent là où débute sa jupe noire. Il faut dire qu’elle fait les carreaux, qu’elle a les bras levés et que du coup sa jupe courte cache à peine le bas de ses fesses ! Elle porte un chemisier blanc et un tablier blanc également.
Elle n’est pas mal faite du tout si on aime les femmes minces. Très minces. Mais l’ensemble n’est pas si mal nonobstant la décoloration excessive de ses cheveux et la qualité médiocre des vêtements.
Elle me voit dans la vitre et se retourne. Je dois avoir l’air un peu ahuri par sa tenue car elle éclate de rire.
— Je vous ai dit que j’avais mes affaires.
— Je ne pensais pas que… enfin… ; euh, vous n’êtes pas obligée de…
— Ma fille m’a dit que vous aviez dit en tenue de soubrette. Ça vous plaît pas ?
Elle se cambre, lisse le tablier, faisant saillir une poitrine plus volumineuse que celle de sa fille et fait un tour sur elle-même.
— Si, bien sûr, il faudrait être difficile…
— Les hommes, en général ça les excite.
— Ah bon ? Vous faites souvent la femme de ménage ?
— Oh, je sais ce que je dis. J’ai bossé dans une maison de retraite et bien quand je faisais leur lit, des vieux me mettaient la main aux fesses… Pourtant, ils auraient été en peine de faire ...
... plus…
Elle rit de bon cœur. Elle a un rire agréable et communicatif.
— Vous leur avez donné sans doute leurs dernières émotions sexuelles.
— Pas faux…
— On boit quelque chose ?
— C’est vous le patron.
Nous passons à la cuisine et je sors deux bières.
— Ça vous va ?
— Impeccable, ça donne chaud et soif de faire le ménage. Je dois être en sueur.
— Vous pourrez prendre une douche avant de partir, si vous le souhaitez.
— Pas de refus.
Nous vidons nos bières à même le goulot car elle a repoussé le verre que je lui avais proposé. Nous sommes côte à côte accoudés au comptoir qui sépare la cuisine américaine de la salle à manger.
— Une autre ?
— Pas de refus.
En allant vers le frigo, je trébuche. Satanées babouches… Dans mon mouvement ma main s’est posée sur le bas de son dos.
Elle rigole.
— C’est mon histoire de vieux qui vous inspire.
— Non, excusez-moi, j’ai trébuché. Je n’ai pas l’habitude de mettre la main aux fesses des dames.
— Eh bien vous êtes bien le seul ! Parce que bonjour… Y en a un, dans le bus ce matin, il m’a pincée à travers mon pantalon, le vicieux !
D’un geste très naturel elle relève sa jupe et tire sur sa culotte pour me montrer le bas d’une de ses fesses.
— Regardez, j’ai une marque.
Je me penche et pose presque le nez sur sa fesse. Effectivement une marque bleue orne sa fesse très blanche.
— Attendez, je vais remédier à cela.
Je ramène du frigo deux bières et un glaçon.
— Faites voir cela.
Elle relève sa jupe et ...