1. Monsieur voyeur et acteur


    Datte: 25/10/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: MG8895, Source: Hds

    ... ainsi parfaire ma toilette.
    
    Brutalement, la lumière s’est éteinte, alors que je me savonnais entièrement, deux mains vinrent se plaquer dans mon dos. J’avais du savon qui me brûlait les yeux. Je ne pouvais distinguer à qui appartenaient ces doigts qui me caressaient les épaules, parcouraient mon dos, s’arrêtaient au dessus de mes fesses, remontaient vers ma nuque, qu’elles massaient délicieusement. Ces mêmes mains achevaient de me savonner soigneusement, insistant sur les poplités des bras et des jambes. Cette délicatesse m’envoutait, ce contact de peau chaude glissant suavement sur mon corps m’irradiait.
    
    Une main s’est fourvoyée vers mon sexe légèrement ramolli. Du bout des doigts, elle frôlait lentement sur sa longueur, cheminant sur mes bourses tendues et ridées. Je frissonnais, ces effleurements faisaient renaître le désir. L’autre main me palpait les pectoraux et pinçait mes tétons. A qui appartenaient ces intentions ?! Madame serait-elle de retour, n’était elle point rassasiée ? Mais quelle nympho !!!
    
    Maintenant, c’est une masturbation lente et dirigée qui commençait. Mon désir grandissait, mon anus se contractait, je commençais à bander. Des petits chatouillis naissaient au sein de mon pubis. Mon anus s’affolait, il se contractait plus vite et davantage ; il tremblait. Cette main me décalottait intensément mettant au jour mon gland turgescent. Cette main était virile mais pas trop, juste ce qu’il fallait pour bien étirer le frein du prépuce.
    
    L’autre main ...
    ... s’est faufilée entre mes fesses, les doigts bien à plat me savonnaient la rosace. Je respirais de plus en plus fort, j’haletais, je soufflais. Des « ohouhoooaaaouuuuffffffff » étouffés s’échappaient de ma bouche. Désormais, l’eau coulait sur mon corps, les mains aidant à évacuer la mousse du gel douche. Les mains insistaient sur mes parties intimes. Une bouche est venue se poser sur le bout de mon sexe puis l’enfourna tendrement. Les mouvements et les succions s’accélérèrent très rapidement. La délicatesse a fait place la vigueur et à la vitesse. On me pompait, on me suçait et on me branlait énergiquement.
    
    En extase et presque à l’acmé, Je senti une chose ou objet qui frétillait entre mes fesses. C’est Monsieur, aucun doute. Il excitait sa queue dans ma raie pendant que Madame menait à bien sa besogne sur ma colonne cette fois bien dressée et gonflée de plaisir. Monsieur voudrait entrer en moi, mais je ne suis pas préparé, je suis sec et mon sphincter est trop tendu.
    
    Alors Monsieur s’agenouilla, m’écarta la raie et planta sa langue sur mon trou. Il dessinait, contournait, traçait, crayonnait mon petit trou vierge. Cette pratique était nouvelle pour moi, du moins avec un homme, jusqu’où lui permettrai-je d’aller ? Avide, Madame ne fatiguait pas, elle gouttait goulument mon membre bien érigé. Elle malaxait mes testicules avec maîtrise et fermeté. Quelle coquine !!!! Elle aime vraiment le cul celle-là. Elle se déchaînait sur ma bitte et mes couilles, oh bon sang, de bon sang ...