Monsieur voyeur et acteur
Datte: 25/10/2024,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: MG8895, Source: Hds
Monsieur sortit de son repère d’observation, pour venir nous rejoindre, Il caressa le visage de Madame, il la regardait avec envie et délicatesse. Visiblement, il éprouvait beaucoup d’affection et d’amour envers son épouse. Il culpabilisait de ses nombreuses absences. Il estimait qu’il ne concrétisait pas assez son amour envers elle et c’est la raison pour laquelle, il l’offrait à des amants.
Monsieur était sportif, cheveux courts, frisés, une belle gueule, une petite barbe bien taillée, des pectoraux bien dessinés, un petit ventre mais pas plus que ça, un sexe court mais assez gros. Des mains féminines et manucurées, il portait un parfum léger et subtil, même nu, il dégageait de la prestance et de la classe.
Les sentiments étaient confus chez lui, un mélange d’amour et de phallocratie. Orné de son statut, on ne montre que rarement ses sentiments dans ces castes ; éducation rigide, le monde des bonnes manières. On ne pleure pas dans ces familles, on serre les mâchoires, on ne rit pas, on sourit sans éclat, on garde tout à l’intérieur en public mais dans la sphère privée, on s’affranchit. C’est un exutoire. On lâche prise, on se libère de la bienséance.
Son impuissance était un frein à leur relation, ils n’avaient pu avoir d’enfant et c’était un manque. Le compensaient-ils par ces pratiques sexuelles un peu extraordinaires ? Voulaient-ils pigmenter leur relation ? Etait-ce le simple plaisir de donner et de recevoir ? Autant de questions que je me posais et dont les ...
... réponses m’importaient peu. C’était leurs pratiques, j’étais là pour les combler et me satisfaire et c’était très bien ainsi.
- Est-ce que prendre une douche vous siérait-il ? me proposa Monsieur.
J’étais un peu gêné par la situation. Je n’imaginais pas que le mari de cette femme pouvait nous observer lors de nos ébats ; visiblement, il jouissait de cette scène. Ces jeux sexuels étaient un divertissement comme un autre. De plus, il s’astiquait le manche et jouait avec son trou de balle, en y insérant des petits sextoys très efficaces. J’éprouvais un sentiment mitigé, entre le tort et la honte. Cette expérience me grisait. Je prenais mon pied, Madame aussi, alors au diable la morale.
Pour cacher mon intimité, J’avais mis ma main sur mon sexe encore gorgé de sang. Il était encore gonflé des nombreux va et vient dans Madame. Quelques gouttes de sperme perlaient à son extrémité. Il faut préciser que Madame, ne lubrifie plus beaucoup, les coïts étaient parfois rapides et limites brutaux. J’étais harassé mais encore excité.
- Avec grand plaisir, répondis-je, manifestement soulagé de quitter ma position et de m’échapper car, je commençais à me sentir de trop au sein de ce couple.
Je me rendis à la salle de bain, une grande baignoire avec jets bouillonnants trônait dans un coin de la pièce. Je me jetai sans me faire prier pour récupérer. Je me suis délassé pendant une bonne demi-heure. Je suis sorti et je me suis dirigé vers la douche à l’italienne, pour me rincer et ...