Littérature bafouée
Datte: 24/10/2024,
Catégories:
f,
h,
fh,
ff,
fbi,
Collègues / Travail
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
init,
totalsexe,
initiat,
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... attouchement. La jolie blonde avait maintenant bien conscience que sa petite chatte s’était humidifiée sous sa jupe longue. Aujourd’hui encore, Pénélope était restée nue sous une large chemise parme et une longue jupe gris taupe. Elle aimait beaucoup. La nouvelle Pénélope était peut-être devenue une vicieuse, mais c’était très agréable.
— Et, évidemment… Un simple mot de toi, et Octave et moi cesserions de… de nous occuper à te faire plaisir…
Madame Lajoie, un sourire mi-narquois mi-amusé étirant plus encore sa large bouche, avait déboutonné le haut de la chemise de la libraire sans que celle-ci ne semble s’en rende compte. Pénélope réalisa tout soudain que la belle brune caressait son sein droit, dégagé de sa protection de coton.
— Je… Octave et moi… J’ai envie, mais… je n’ai jamais osé. Si tu es avec moi…
— Avec toi… Oui, ma chérie. Je serais avec toi…
Un tourbillon de pensées et d’images brutes. Pénélope Tancrène déglutit avec peine, sous cette avalanche d’émotions qui la frappait comme à l’emporte-pièce. Les dés étaient jetés.
— D’accord… Je ne sais pas comment…
Le baiser brûlant de la brune coupa la parole à la blonde…
Il avait été convenu qu’Octave laisserait faire les deux femmes sans les déranger, et surtout sans intervenir. Il ne serait que l’objet de leurs envies… Ou peut-être était-il plus facile de dire que son gros engin serait le jouet de ces dames, et bien sûr, trop heureux d’être là où il l’était, le libraire n’avait pas même prononcé un ...
... mot. Ensuite, il avait été d’abord spectateur du charmant effeuillage de ces charmantes créatures, puis, devenu acteur, il se dévêtait à son tour. Enfin, assis et nu comme Poséidon sur son trône, il avait empoigné son fier trident d’une main ferme. Ceci fait, l’ancien marin n’avait plus osé bouger un cil ni prononcer une parole.
Aux anges, Octave Groseille soupesa les seins qu’il avait dans les mains. Celui de sa belle putain était plus gros et plus lourd que celui de Pénélope. La jolie blonde, elle, avait le sein plus haut placé et plus ferme. Les paumes du libraire caressaient leurs galbes et pesaient sur les pointes érigées. Le mamelon de madame Lajoie, plus sombre et plus épais que celui de Pénélope, se dressait, avide de caresses. Le téton de la jolie blonde, d’un joli rose carminé, plus mince, mais tout aussi dur que celui d’Annabelle, griffait sa large paume. Aux anges. Octave était aux anges.
Accroupies de chaque côté du libraire, nues et en sueur, les deux femmes suçaient Moby Dick. D’abord, sa belle putain s’était montrée plus gourmande. Ses regards en disaient long et cette extraordinaire vicieuse paraissait plus excitée par la présence de la jolie blonde que par sa fellation. Pénélope, elle, s’était d’abord contentée d’observer sa voisine. Elle avait paru très intéressée quand la belle brune avait pris en bouche le membre turgescent d’Octave. Puis, quand la voluptueuse Annabelle avait doucement poussé Moby Dick vers le visage rougi de la libraire, la jolie ...