1. Qui m'a prise ?


    Datte: 24/10/2024, Catégories: fhhh, hplusag, extracon, candaul, inconnu, handicap, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, facial, pénétratio, fdanus, fsodo, extraconj, Auteur: Effrontee, Source: Revebebe

    ... l’aider à passer le cap du sphincter. La douleur s’accroît. La pression augmente, je me crispe, je veux arrêter d’aller plus loin. J’ai trop mal, il est trop gros. Mais c’est trop tard : l’homme pousse avant son membre, le gland finit brusquement par franchir l’anneau. Je retiens un cri craignant la déchirure.
    
    Une fois planté en moi, le fantôme fait une nouvelle pause destinée à laisser à mon sphincter le temps de l’adopter au-delà de la douleur qui se transforme vite en bien-être ; mélange de plaisir sexuel et plaisir moral du défendu, de l’interdit.
    
    — Détends-toi, ma belle. Accepte cette queue qui te veut.
    
    Il a bien compris que la douleur pouvait me faire renoncer. Alors je me lâche. Tous mes muscles se décontractent. Pour le gland, la voie s’ouvre plus loin et d’un coup de rein l’homme s’introduit en moi. Profond, dur, long. Je ne peux retenir ce cri que l’on interprète comme un signe de victoire. Je suis enculée. Plantée au plus profond de mes entrailles, la bite reste immobile. La bête a conquis. La bête savoure sa victoire. La sensation m’est inconnue. Je n’ai jamais rien ressenti de tel avec mon époux, moins invasif avec sa queue moins grosse.
    
    Après quelques secondes, il commence à bouger lentement pour ressortir. Le gland frotte mes chairs brûlantes. Puis brusquement il pousse pour aller encore plus loin en moi, m’arrachant un autre cri. Mais, c’est le plaisir qui m’envahit, je gémis, je vais jouir.
    
    Le fantôme, qui sent que je monte en jouissance, ...
    ... accélère son rythme. Sa bite glisse maintenant sans difficulté dans mes entrailles. Il s’enfonce loin en moi, très loin. Lentement, le plaisir gagne toutes mes cellules nerveuses. La bite accélère, j’ai du mal à contenir mes gémissements et mes plaintes.
    
    En même temps, je sens la respiration de l’aveugle dans mon cou. Il est également excité. Excité de me voir prise par un autre que lui. Il ne voit pas, mais, comme moi il entend mon plaisir, il sent les effluves des sexes qui s’activent. Le sang bourdonne dans mes tempes, je vais mourir, la « petite mort »…
    
    Puis le fantôme accélère sa cadence et involontairement je me calque sur ses coups de boutoir pour l’accompagner vers notre orgasme. Penché sur mon dos, Andréas malaxe mes seins sous moi. Son haleine humide dans mon cou me procure un surcroît d’excitation qui m’entraîne rapidement vers le ciel du plaisir.
    
    Quand je reviens à la vie, l’homme bien qu’épuisé s’active encore en moi. Apparemment, il n’a pas joui. J’entends mon aveugle l’encourager, comme s’il montait une jument.
    
    — Allez ! Allez ! Remplis-la !
    
    L’assaut final approche, l’animal-fantôme pousse des grognements, se cabre et planté profond en moi, il éjacule sa semence de mâle, détournée de sa vocation, inondant mes entrailles avec force et vigueur. Nous jouissons de concert. C’est trop bon de se sentir envahie, remplie par cette liqueur chaude. Mes sens en ébullitions perçoivent avec délectation les nombreux jets de foutre contre les parois de mes ...
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