1. Qui m'a prise ?


    Datte: 24/10/2024, Catégories: fhhh, hplusag, extracon, candaul, inconnu, handicap, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, facial, pénétratio, fdanus, fsodo, extraconj, Auteur: Effrontee, Source: Revebebe

    ... les deux explorent l’entrée de mon ventre. Sans plus aucune volonté, je m’abandonne consciente de ma déchéance et au plaisir nouveau pour moi que cette caresse particulière me procure.
    
    Chargés de ma mouille qui dégouline, abondante, de mon vagin, les deux doigts lubrifiés se glissent sans effort pour mieux m’envahir. Impossible de renier mon excitation. Ce petit manège se reproduit plusieurs fois. Une fugace pensée m’interpelle : quel plaisir trouve-t-il dans cette manœuvre ? En fait je comprends que mon pourfendeur dilate le conduit pour mieux le profaner après avec sa bite.
    
    — Lui, celui qui te fouille en ce moment, murmure Andréas, mon mal voyant, dans un souffle, est là pour te posséder et prendre ton cul, Chantal. Avec sa queue ! Il a vu combien tu réagissais à mes caresses tout à l’heure. Rien ne lui a échappé. Il a une grosse bite, mais il t’a bien travaillée. Je le sais. Je veux lui offrir ta soumission. Il te connaît et tu le connais, mais tu ne sauras jamais qui t’encule ce soir. Pour autant, je veux que tu lui réclames de le faire, suprême preuve que tu m’appartiens.
    
    Trop excitée je n’arrive pas à formuler sa demande.
    
    C’est à ce moment que je me sens envahie de peur quand la dureté d’un gland appuie et force l’entrée de mes entrailles. Je me retiens de crier.
    
    Le fantôme marque la position, comme dans l’attente d’un signe. Je sens ses mains caresser mes fesses, remonter sur mes hanches, caresser délicatement mon dos. Je ne reconnais pas la peau de ...
    ... cette main qui me touche, et j’en conclus que cet homme m’est étranger.
    
    Les deux mains glissent dessous, me caressent le ventre puis remontent jusqu’à mes seins qu’elles englobent avec douceur d’abord comme pour en estimer l’élasticité, la fermeté. Cette douceur calme la peur qui m’habite. Elle me rassure et me réconforte dans l’idée que je suis aimée. Mais bien vite la violence remplace la délicatesse. Les mains pétrissent mes nichons pour le propre plaisir de peloter.
    
    — Prends-la maintenant, elle est chaude. Profite bien de ma femelle. Elle est à toi, c’est pour moi que tu la possèdes, reprend Andréas.
    
    C’est un nouveau coup de poing au cœur que je ressens en entendant ces mots prononcés par mon amour d’aveugle. Mais je les accepte alors que plusieurs sentiments se bousculent dans ma tête : amour, soumission, rébellion.
    
    Sans un mot, l’homme contre mes fesses appuie au creux de mes reins pour me faire cambrer et faire saillir mon cul, me saisit aux hanches et m’attire à lui. Il va m’enculer. Il vient d’en recevoir l’ordre de mon maître.
    
    Il présente le gland à l’entrée de mes entrailles, écartant les deux lobes de mes fesses. Il est doux et chaud, à la fois. Je le perçois dans sa grosseur et je panique quand il presse l’anus pourtant quelque peu dilaté par ses doigts.
    
    La douleur, quand le petit conduit se prépare à la pénétration, est violente, à la limite du supportable. Mais, pour en finir de cette phase douloureuse, j’avance mon corps vers cette bite pour ...
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