Une douce soirée - Histoires de Sexe

Une douce soirée

... Chouchou.

L’heure avait avancé et nous devions travailler le lendemain.

Nos mains recommencèrent à s’égarer.

— Caresse mes seins !

J’adorais sentir des mains malaxer ma poitrine.

Anna saisit mes mamelons entre deux doigts et les étira ce qui me procura une petite douleur, mais aussi des frissons d’excitation.

— Montre-moi comment tu arrives à sucer tes tétons.

Je pris mes seins à pleine main et, en penchant la tête au maximum, je saisis une pointe entre mes lèvres. Je lui confiais que lorsque j’allaitais Chloé, il m’arrivait de boire mon lait comme ça.

— Moi, je n’ai pas d’enfants, mais j’ai eu l’occasion avec Chouchou de rencontrer un couple dont la femme continuait à allaiter. Elle avait des seins énormes et j’ai goûté son lait. Pas très bon, d’ailleurs.
— Oui, pas sucré.

Elle avait lâché mes seins et caressait mon ventre.

— Viens sur moi.

Je basculai sur elle.

— J’aime sentir ton corps.

Je plaisantai :

— Tu aimes avoir du poids sur toi ?
— Tourne-toi, donne-moi tes fesses.
— Tu veux voir et goûter mon gros cul ?

Parfois, je me laissais aller à un soupçon de vulgarité.

— Oui, j’ai envie de lécher ton gros cul.

Je ne voulais pas la priver de ce plaisir et nous nous sommes retrouvées tête-bêche. Je sentis son souffle sur mes fesses et mon sexe. Elle écarta les deux gros globes pour ouvrir le plus ...

... possible mes deux orifices. Sa langue agile parcourut toute mon intimité. Elle aspira mon petit membre et lécha toute la fente qui devait, je le sentais, dégouliner de ma cyprine gluante.

À mon tour, je plongeai ma tête entre ses cuisses qu’elle ouvrait au maximum.

J’aspirai à tour de rôle ses longues lèvres devenues turgescentes. Son jus coulait plus liquide que le mien, mais très parfumé. J’adorais l’odeur de son sexe avec ce petit goût de pipi.

Le plaisir nous inonda rapidement.

Après m’être remise dans le bon sens, je proposai à Anna :

— Si nous dormions un peu ?
— Pas contre. Oui, car demain, au boulot !

Presque avec impertinence j’ajoutai :

— Oui et Chouchou revient demain.

Elle s’esclaffa :

— Tu es jalouse ?

J’eus l’air bête

— Non, mais je me demandais comment nous allions organiser notre cohabitation au bureau, maintenant.

Sa réponse fut immédiate.

— Cela ne changera rien. Je ferai simplement attention de ne pas te faire rire quand tu bois ton café, ce n’est plus la peine. Et puis, nous aurons sûrement l’occasion et le plaisir de partager quelques soirées.

Et elle ajouta :

— Avec ou sans Chouchou.
— Au fait, je sais toujours pas comment s’appelle Chouchou.
— Chut, c’est un secret il n’y a que lui qui peut le dire.

Elle se tourna et nous nous sommes endormies, nos fesses collées les unes contre les autres.