1. Une douce soirée


    Datte: 21/10/2024, Catégories: ff, oncletante, Collègues / Travail groscul, fépilée, douche, odeurs, caresses, Oral 69, uro, lesbos, Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe

    ... embrassées longuement en nous caressant les seins. Je sentis sa main descendre entre mes cuisses, elle était douce et parcourait tout mon sexe, les lèvres, le clito. Je sentais ses doigts s’insinuer dans mon vagin inondé. Je ne regrettais pas l’épilation, la peau était beaucoup plus sensible, plus réceptive à chaque caresse. Elle me renversa sur le ventre pour masser mes fesses. J’adore qu’on touche mes fesses. Progressivement, elle descendit ses doigts dans le sillon largement lubrifié par la cyprine qui avait coulé. Son doigt tournait autour du petit trou et frottait doucement cette zone tellement sensible entre le vagin et l’anus. Je devinais, à ses mouvements, qu’elle devait se masturber en même temps. Je voulais la voir.
    
    Je me retournai brusquement, ce qui la fit basculer sur le côté. J’avais envie de jouir et de la faire jouir. Sans nous concerter, nous nous sommes installées en position de ciseaux. Nos chattes se frottaient l’une contre l’autre avec, en fonction des mouvements, des petits bruits de clapotis. J’avais l’impression que les longues lèvres d’Anna s’étaient enroulées autour de mon petit membre. Mon clitoris était tellement sorti que dans un souffle, Anna me dit :
    
    — J’ai l’impression que tu me pénètres.
    
    J’aimais cette position, car elle me permettait de suivre la progression du plaisir sur le visage d’Anna. Nos orgasmes furent quasiment simultanés. Je passai les doigts sur sa chatte poisseuse et je goûtai le mélange de nos liquides de ...
    ... plaisir.
    
    Anna vint se blottir dans mes bras.
    
    — Tu me gardes pour la nuit ?
    
    Pour toute réponse, je mis mes doigts dans mon vagin et les lui fit sucer.
    
    — J’adore ton odeur et ton goût.
    
    On se réinstalla confortablement sur les oreillers, il n’était pas encore très tard.
    
    Après un moment de silence, Anna commença sans préambule.
    
    — C’était début août, un vendredi.
    
    Elle rit.
    
    — Le mois et le jour n’avaient aucune importance, je vais être brève.
    
    Elle prit ma main et la posa sur un de ses seins que je caressais doucement, j’aimais le contraste entre la peau très douce et le mamelon dressé.
    
    — Tu vois la suite ?
    — Je peux te la raconter. D’après ce que tu me dis, cela devait être deux ou trois ans avant toi. Je l’ai rencontrée avec Amélie, ma prof de math, elle me l’a présentée comme étant la mère de son mari, sa belle-mère, quoi. J’en ferais la même description que toi. On a discuté un moment, je me souviens, elle était assise en tailleur et son sexe était béant, les grosses lèvres ouvertes. Cette exposition totale de son intimité m’avait un peu choquée. Mêmes compliments sur mon physique. Comme Amélie était là, c’était très soft, mais elle me parla aussi de photos pour quand je reviendrais.
    — Avec Coralie, nous avons accepté de venir la voir le lendemain chez elle. Je suppose que je ne raconte pas la suite ?
    — Non, c’est inutile. J’ai tout raconté dans mon journal, peut-être qu’un jour je mettrais tout ça dans l’ordre.
    — Moi, j’ai tout raconté à ...
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