Un long couloir
Datte: 20/07/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
cadeau,
vacances,
sport,
froid,
hotel,
pénétratio,
fsodo,
confession,
Auteur: Xavier2, Source: Revebebe
... gâte rien.
Mardi soir. J’ai fait goûter les filles, les ai douchées. Il est 19 heures. Elles viennent de redescendre au junior club où elles dîneront. J’irai les y chercher à 21 h 30. Maintenant, j’ai une heure pour moi, rien que pour moi, avant d’aller à la cafeteria du club. Comme tous les soirs, j’en profite, je m’occupe de moi, je me délasse après cette journée de ski, je prends un long bain bien chaud. Je ferme les yeux.
Des coups frappés à la porte me sortent de ma rêverie. Ils sont insistants. Tout de suite, je pense aux filles. Il leur est peut-être arrivé quelque chose. Affolée, j’enfile en vitesse un peignoir et vais ouvrir. Jérémy. Il n’est plus le gentil moniteur de ski que je côtoie depuis trois jours. N’est plus habillé comme un moniteur : un jeans, un pull. Et son regard est dur, un regard d’homme. Je ne me sens plus protégée comme pendant la journée. Nous sommes seuls. Et je suis nue sous mon peignoir. Je suis tellement interloquée que je recule. Il pénètre dans la chambre, claque la porte derrière lui de son pied. Je ne sais comment réagir. Crier ? Ce serait ridicule. Lui parler ? Les mots ne sortent pas. Mon cerveau est figé. Il avance un bras vers moi. Je recule encore, bute contre le rebord du lit. D’une poussée de la main, il me fait tomber et s’allonge sur moi. Il est fort, il est lourd. Je détourne le visage. Sa bouche embrasse mon cou, ses cuisses séparent les miennes, je sens sa main déboutonner sa braguette, libérer un sexe dur et le diriger ...
... vers mon vagin. C’est allé trop vite. Je ne réalise pas. Ce n’est pas vrai. Pas moi, pas lui, pas dans cette chambre où dorment mes filles.
Mais son sexe est en moi, au fond de moi. Et il me tient, de ses mains, avec son poids. Je me sens faible, prise. Ma seule défense est de rester inerte, de regarder le plafond, de ne pas penser. Comme ça, je pourrai me dire que je n’y suis pour rien, que je ne l’ai pas voulu, que je n’ai pas vraiment trompé Denis. Mais une sorte de torpeur m’envahit, de chaleur aussi. À mon âge, une femme se connaît. Son sexe coulisse en moi maintenant, lentement, profondément, facilement. Ça signifie que mon vagin est humide, qu’il accepte ce sexe. À quoi bon résister mentalement puisque mon corps a déjà dit oui ? Je m’abandonne.
Il l’a senti. Ses mains passent sous mon dos, saisissent mes épaules et me projettent vers son sexe quand il s’enfonce en moi, violemment. Je pose ma bouche dans son cou pour ne pas gémir. Il se redresse, se met à genoux, défait la ceinture de mon peignoir, en écarte les pans, place une main sous mes reins, les soulève pour que je vienne m’empaler sur son sexe, m’embrasse les seins, en étire les mamelons avec ses dents. Je veux mettre mes mains devant ma bouche. Il me prend les poignets de son autre main et les cloue derrière ma tête. Mon premier gémissement de plaisir ; c’est ma reddition. Les autres suivent : je cambre ma poitrine pour aller au-devant de sa bouche, noue mes jambes dans son dos pour aller au-devant de son ...