Le corset d'Anne-So
Datte: 20/10/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Rouge, Source: Hds
... baguettes ?
Je jette un coup d’œil vers Hélène. Celle-ci me montre sa main et écarte le pouce et l’index pour que Christine évalue mon degré de dilatation. Notre hôtesse se tourne vers Hélène.
- Et vous avez recommencé ?
- Non, pas encore.
- Pourquoi ?
- Je veux la dresser pour l’anal. Mais à la fin, il faudra qu’elle y trouve du plaisir. Et qu’elle réclame elle-même l’enculage, et elle poursuit- Je suis aussi délicate avec elle que Pierre l’a été à mes débuts- Et vous aimez ? Me questionne-t-elle- Oui, j’adore quand mes maitresses me travaillent l’anus, et me doigtent, surtout après m’avoir fouettée, elles me rendent folle.
- Je vais vous faire un cadeau.
Elle prend le rosebud dans sa petite boite. Je sens un liquide froid couler entre mes fesses. J’essaie de me détendre. Un doigt étale le lubrifiant sur mon cratère, puis il s’insinue dans ma rosette. Ce n’est pas le fin index d’une femme qui me fera souffrir, ou même jouir. Il me faut plus, même si mon éducation sodomite ne vient que de commencer.
Je sais qu’elle va m’enfoncer un rosebud, mais j’en ignore la taille et le poids. Je frissonne à l’idée de cette dilatation inconnue.
La pointe se pose sur le creux de mon œillet. Elle pousse lentement pour je ressente mieux l’écartement de mon muscle secret. Elle m’ouvre ...
... progressivement, j’apprécie cette dilatation lente, comme j’ai apprécié celle avec les baguettes.
Elle continue de m’enculer avec le plug. C’est encore agréable, mais je sens qu’elle approche de mon ouverture maximale.
Mon sphincter devient douloureux, encore un centimètre et je crie.
Plop! La partie la plus renflée vient de passer mon anneau, qui s’est resserre brutalement. Je souffle. La main froide de Christine flatte mes fesses.
- Vous voyez, ce n’est pas si terrible !
- Oui, j’ai presque aimé. Lui réponds-je en me redressant.
Un ange passe.
- C’est bon, on prend le tout, conclut Hélène.
- Vous pouvez m’aider à l’enlever tout ça, demande Anne-So ?
- Non, tu restes avec, tu remets directement tes vêtements à même la peau.
Nous sortons. La rue est parcourue d’une légère brise chaude qui plaque ma robe sur mon ventre et ma poitrine. Je fais quelques pas. Le balancement de ma lourde poitrine s’accorde avec la houle de mes fesses. Le frottement du tissu exacerbe la sensibilité de mes tétons. Je les sens durcir comme du bois.
Mes amies me prennent chacune une main, et se collent à mes hanches. Je ferme les yeux, me laissant guider. Ma robe colle à mes formes. Je me sens comme nue en public.
Les paupières fermées, je rêve que je marche vers l’arbre et les supplices promis.