Le corset d'Anne-So
Datte: 20/10/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Rouge, Source: Hds
Hélène : le corset d’Anne-So
Récit de Christine.
- C’est pour une occasion spéciale ?
Il y a quelques jours, Hélène m’a téléphoné. Elle voulait un corset, pour une amie. J’ai décidé de les recevoir dans mon bureau au premier étageMel et Hélène se sont attribuées le canapé, Anne So s’est assise dans un fauteuil.
J’avais demandé à ma bourge favorite les mensurations de ma future cliente. Je m’aperçois qu’elle n’avait pas exagéré. Ma nouvelle cliente est vraiment ce qu’on appelle une belle plante.
Je l’observe. Son front carré est surmonté d’une belle crinière dense et bouclée, teinte couleur acajou avec une coupe qui lui laisse une nuque dégagée. Elle me regarde avec des beaux yeux bruns marqués de quelques rides. Ses sourcils bien taillés sont aussi teints dans le même rouge que ces cheveux.
Le bas de son visage est un peu empâté, avec un menton gras. La forme charnue de ses lèvres est soulignée d’un rouge léger assorti à sa chevelure.
Elle s’est habillée d’une robe chemisier bleue foncée à pois blancs. Son décolleté, fermé par un petit nœud lâche plonge entre deux seins de belle taille. Elle tient serrées ses deux jambes gainées de marron foncé. L’ouverture de sa jupe découvre ses genoux bien ronds, au-dessus de mollets un peu forts, mais prolongés par ses chevilles fines mises en valeur par des escarpins à brides.
Ses deux mains sont posées l’une sur l’autre sur ses cuisses, dans une pose modeste.
- C’est pour une occasion spéciale ?
Un silence ...
... suit ma question. Je remarque qu’Hélène cligne des paupières en direction de la belle rousse.
- Je vais être menée à l’arbre, répond Anne So.
- Ah ! Vous savez ce dont il s’agit ?
- Oui, il y a un chêne, des liens, et sept femmes.
- Vous avez déjà été fouettée ?
- Oui, par mes deux amies.
- Vous avez aimé ?
- Oui, fait-elle troublée.
- Mais là, ce sera la première fois en public ?
Je la vois qui crispe ses mains sur ses cuisses.
- Oui.
- Vous avez peur.
- Oui.
- Vous verrez, c’est très bon. D’ailleurs, elles ne vous y emmèneraient pas si vous n’étiez pas capable d’apprécier.
Un arrêt. Pendant un instant, je m’interroge sur ce qui peut pousser une bourgeoise, visiblement à l’aise, à se livrer à ces excès pour le plaisir de ses maitresses.
Je romps le silence.
- Je pense que nous devrions passer aux essayages. Pouvez-vous vous déshabiller ?
Elle se lève, elle défait le petit nœud de sa robe, elle se déboutonne jusqu’à la taille, et dénoue sa ceinture. Par un réflexe de pudeur, elle se tourne et fait tomber le tissu jusqu’à terre, elle l’enjambe et se présente à nous en talons et dessous.
Elle porte un élégant ensemble vieux rose pale, dont la pièce maitresse est un large porte jarretelle qui souligne sa taille.
- S’il vous plait, ne gardez que vos bas et vos escarpins
Elle fait glisser sa culotte, dévoilant une croupe imposante, portant encore la discrète marque triangulaire d’un maillot de bain, mais aussi les fines ...