L'invitée (partie 7) - La quatrième nuit (2/2), ou Sous la pluie
Datte: 19/10/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Kamalstory_, Source: Hds
... Aaaaaah…. Mmmmhh… Oooouuuuiiii… mmmh…
Je sens l’éjaculation monter en moi. Saoussen prend apparemment beaucoup de plaisir mais elle n’a pas encore joui. Depuis que nous avons commencé nos parties fines elle a eu des orgasmes grâce à mes mains et ma langue mais jamais encore sous les assauts de ma queue. Quelque part j’en fait une question d’honneur. On place l’honneur où on le peut et vous avez pu remarquer depuis le début de cette histoire que le mien a tendance à être très mal situé. Je cale mes deux mains à l’avant de chacune de ses cuisses, à la jonction du ventre et de la jambe, et je la tire ainsi en arrière à chaque fois que je fais moi-même un mouvement de pénétration.
J'augmente à nouveau le rythme, même si je ne remonte pas à la vitesse précédente, et d’un rythme régulier et appuyé je continue mes va et viens. Clac, clac, clac, clac, clac,…
- Mmmmmm,, aaaangh… aaaaahh…
Clac, clac, clac, clac,…
- Aaaaaaaannnnnh, nikni, nikni ktar, aaaaaaaaaaannnnnnnhhhh…
Clac, claC, clAC, cLAC, CLAC, CLAC, CLAC,…
- AAAAAHHHHH… AAAANNNNNH… OOUIIIII… AAAAAAAAAHHHMMMMMMMMMMMHHHH
Saoussen hurle maintenant son plaisir sans aucune retenue, sa tête se lève et se baisse de manière tumultueuse, confuse. Elle a les yeux fermés et son visage exprime le plaisir qu’elle ressent au fond d’elle. Ses cuisses se tendent par à coup, enserrant ma bite dans un véritable étau de délices, ce qui fait encore monter en moi la pression de l’éjaculation. L’entendant pousser une ultime ...
... mmmmmmmmmmmhhh, je m’extraies de ce fourreau et, en accompagnant le geste d’un ou deux allés retours manuels sur mon gland, je me vide de mon sperme sur ses fesses et le bas de son dos. La sensation est tellement bonne que moi-même je suis pris de mouvement convulsifs tout en crachant.
- Aarrrh, NNNNghh, …aaaahhh… MmmMMGGHH, …AAAhhhh, lui exprimé-je donc ma jouissance dans un français tout en nuance et en subtilité.
Les quelques giclées de liquide nacré, peu nombreuses et pas énormes car je me suis déjà vidé à plusieurs reprises et il faut du temps pour que les couilles reconstituent leurs réserves, se répandent sur quelques endroits de sa peau, leur blanc laiteux tranchant avec le brun doré de l’épiderme maculé. Epuisés par notre activité nous nous affalons tous deux au fond de la baignoire, laissant l’eau de la douche emporter dans son sillage la sueur qui nous recouvre tous les deux. Je laisse mes doigts courir sur la peau de Saoussen, redécouvrant à tâtons et avec douceur les monts et merveilles que je maltraitais peu de temps avant. Nous passons ainsi quelques minutes à nous caresser mutuellement en échangeant quelques mots sans grand intérêt, puis nous nous levons, douchons, savonnons longuement, séchons et sortons nous rhabiller.
Alors que nous sommes attablés devant la télévision occupés à manger la pizza venant juste de sortir d’un four qui avait préchauffé pendant bien trop longtemps le bruit de voiture dans l’allée nous avertit que Hanane est sur le point ...