L'invitée (partie 7) - La quatrième nuit (2/2), ou Sous la pluie
Datte: 19/10/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Kamalstory_, Source: Hds
La porte de la salle de bain est fermée et j’entends le bruit du jet d’eau qui coule rafraîchissant probablement la chaleur de Saoussen. Je reste quelques secondes la main figée sur la poignée, savourant l’instant avant de pousser la porte et de rejoindre la belle dénudée sous sa douche. Je me délecte par avance de la scène qui va advenir. Par moment je me demande si le l’imaginaire, l’idée qu’on se fait d’une relation sexuelle n’est pas plus excitante que la relation en elle-même. Je ne parle pas de sensations, car pour ça il n’y a pas photo, rien ne vaut la sensation de faire coulisser sa queue dans le fourreau chaud et serré d’une chatte bien excitée, mais en ce qui concerne l’excitation même je pense qu’il y a match. Je m’imagine entrer dans la salle de bain sans un mot, me trouver face à Saoussen les yeux fermés, nue, la tête renversée en arrière pour humidifier sa longue chevelure noire, monter le parapet de la baignoire (quand tu as des enfants les douches italiennes c’est dans les films), plaquer son buste contre le mur et, avant même qu’elle n’ait eu le temps d’ouvrir les yeux, la pénétrer violemment et sentir son corps se détendre sous le plaisir de mes coups de butoir. A la seule évocation de cette scène je sens mon sexe qui recommence à bander immédiatement. Pourtant j’ai craché il y a quelques minutes à peine et, je n’ai plus vingt ans, je mets habituellement plus de temps que ça à recharger pour partir sur un second round. A croire que le contexte est pour ...
... beaucoup dans nos réactions physiologiques à ce niveau, même si j’adore faire l’amour à ma femme je pense qu’il m’aurait fallu une pause plus longue pour pouvoir l’honorer deux fois en si peu de temps.
Je baisse donc silencieusement la poignée de porte et pénètre dans la pièce. Saoussen a refermé le rideau de douche et n’est donc pas consciente de mon irruption. Je descends mon pantalon, rapidement rejoint sur le sol par mon caleçon, puis j’écarte le rideau et reste subjugué par une vision de félicité. Totalement nue, et à la réflexion c’est la première fois que je peux profiter du spectacle de son corps totalement offert dans son impudique nudité, Saoussen garde effectivement les yeux fermés mais ce n’est pas parce que l’eau coule sur ses cheveux comme je l’avais supposé dans ma rêverie éveillée, la pomme de douche est sur le sol de la baignoire en train de se répandre aux pieds de la belle naïade, mais bien parce qu’elle est en train de se savonner le visage. Elle a déjà terminé de passer le gel douche sur son corps semble-t-il au vu des couches de mousse qui, çà et là, camouflent quelques centimètre de sa peau dorée sans pourtant dissimuler grand-chose de son anatomie. Ses lignes sont gracieuses sans pour autant tirer à l’excès de maigreur qui semble être le graal de beaucoup de femmes. La chahma c’est nécessaire, et Saoussen en a, répartie harmonieusement en courbes et collines admirablement proportionnées. On voit que la dame est sportive et qu’elle prend soin d’elle, mais ...