1. Banquière perverse (13)


    Datte: 19/07/2019, Catégories: Divers, Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    La nuit fut douce et bonne, je me suis endormi avant même qu’elle revienne dans le lit.
    
    Tous les matins au réveil comme tous les mecs en général, et sans penser à Fernande : je bande !
    
    — Et bien, on dirait que tu es en forme ! Ça tombe bien, moi aussi !
    
    C’est le bonjour de Madame qui vient de s’emparer de mon engin et de l’engloutir comme une affamée ; une bonne pipe le matin au réveil, y’a pas mieux !
    
    — Tu vas me faire l’amour, mais en douceur cette fois-ci, et mets-ça ! me dit-elle en me tendant un préservatif.
    
    J’enfile la chaussette en latex, après avoir malaxé les nibars et quelque peu sucé ses mamelons ; je la pénètre en douceur, et l’astique …elle jouit et moi je gonfle le doigt en caoutchouc avec ce liquide blanc et mal odorant, que nous les hommes, aimons servir à ces Dames.
    
    Une fois l’affaire terminée :
    
    — Vas préparer le petit déjeuner dans la cuisine, j’arrive.
    
    — Vous voulez prendre le petit déjeuner dans la cuisine ?
    
    — Oui, allez fonce ; j’ai faim !
    
    Je file et je fonce préparer le petit déjeuner. Comme tous les matins un sac rempli de viennoiseries nous attends sur la table de la cuisine, et aujourd’hui il y a en plus un petit papier ; je le prends, l’observe et le lis :
    
    « Désolé de ne pas pouvoir t’embrasser, mon chéri, mais je dois partir. Bisous mon amour, à dans une semaine ; prends soin de toi. Je t’aime. Gladice »
    
    Je lis cette phrase une fois, deux fois… dix fois, j’ai le cœur gros de ne pas avoir pu l’embrasser avant son ...
    ... départ. Je le cache vite car la patronne arrive, et à tout en vitesse je prépare : bols, tasses, verres, beurre, miel, confiture, yaourts. Le plateau de Madame est dressé à la vitesse de l’éclair….l’eau chauffe dans la bouilloire et le café passe ; moi, j’ n’ai pas besoin de plateau et je déjeunerai sur la table.
    
    — Humm…ça sent bon le café tout frais, complimente Madame.
    
    — C’est bientôt prêt, Madame.
    
    Elle s’attable, prend un croissant, croque dedans.
    
    — Humm…il est très bon ! Issam, j’ai décidé un certain nombre de choses ! Assieds-toi et écoutes-moi.
    
    Je m’installe tout en lui versant le café et en me servant et elle continue.
    
    — Je veux qu’à partir de maintenant, tu ne m’appelles plus Madame mais Jelila ; c’est mon prénom et tu dois aussi me tutoyer.
    
    — Mais, ça va être difficile, je ne vais pas pouvoir ; je vous en prie ne me demandez pas cela.
    
    — Non, c’est hors de question ; je t’ai choisi comme amant, et je veux aussi que tu m’aimes.
    
    Dans ma tête, un véritable cataclysme se produit ; je suis dévasté. Ce qu’elle me demande est tout simplement impossible, je ne peux pas faire ça à Gladice ; et de toute façon je ne l’aime pas et ne l’aimerai jamais, mais je sais que je n’ai pas le choix.
    
    — Très bien …Jelila, je vais faire de mon mieux.
    
    — Parfait, je savais que tu es un garçon raisonnable. Autre chose, cette semaine je dois assister à des réceptions, et tu vas m’y accompagner. Aujourd’hui nous sortons pour faires quelques emplettes, je suppose que ...
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