1. Sur la route de la corniche - 2


    Datte: 15/10/2024, Catégories: fh, couleurs, inconnu, plage, boitenuit, danser, pénétratio, aventure, lieusexe, lieuxpubl, Auteur: Djangerine, Source: Revebebe

    ... par de petits « oui ». Il insiste lourdement :
    
    — Tu aimes ma queue, tu aimes te faire défoncer comme ça ?
    
    Elle répond à nouveau d’un simple oui qui doit le laisser sur sa faim. Personne ne lui avait jamais posé de questions aussi rudes.
    
    Il lui fait poser ensuite les bras à plat sur le bord du rocher puis, face à elle, soulevant ses jambes de ses deux bras, il amène son bassin vers lui. Sa bite vient à la rencontre de son pubis, s’incruste entre ses lèvres, il ajuste la visée. D’une seule poussée il l’emmanche à nouveau la faisant crier.
    
    Il lui impose à nouveau une longue séance, écarte ses cuisses de ses bras, écartelant sa chatte à chacune de ses poussées. Elle se laisse à nouveau aller, apprécie cette domination qui lui donne un plaisir intense malgré la douleur liée aux positions qu’il lui fait adopter et au rocher qui martyrise ses bras et son dos.
    
    Ça dure longtemps, elle s’épuise.
    
    Le garçon veut à nouveau changer de position et lui fait reprendre pied.
    
    — Viens, je vais m’allonger et tu vas venir sur moi.
    
    Il enlève son T-shirt, l’étend sur le sable et s’allonge, son futal descendu à ses chevilles. Avant que Laura ne l’enjambe, il lui fait retirer sa culotte puis écarter les pans de son chemisier afin de pouvoir profiter de ses seins quand elle sera au-dessus de lui. Enfin il l’attire et la fait s’empaler sans plus attendre.
    
    Il l’oblige à monter et à descendre d’elle-même sur sa queue. Elle se met à nouveau à jouir de la pénétration intense ...
    ... qu’il lui impose mais le garçon a une autre idée en tête, ses mains enserrent ses fesses et du bout des doigts il vint explorer son cul. Il cherche à s’introduire, puis il lui souffle :
    
    — J’ai envie de ton cul, tu veux te faire prendre comme ça ?
    
    Alarmée par la monstruosité de son projet, elle se met à gémir :
    
    — Non, pas ça, tu es trop gros, tu vas me faire mal !
    
    Elle continue néanmoins à monter et à descendre sur sa queue ne pouvant se soustraire à son étreinte.
    
    Heureusement, le gars s’est déjà bien dépensé et l’évocation qu’il vient de faire de son envie finit par l’amener à ses limites.
    
    — T’es vraiment trop bonne, tu ne perds rien pour attendre ! pense-t-il en accélérant sa gestuelle.
    
    Il s’agrippe à elle, se crispe dans un pilonnage intense, maltraite ses fesses, puis ralentit quand il sent la jouissance arriver, décompose ses mouvements. Il s’attache à la pénétrer de toute sa longueur en même temps qu’il se vide, puis il se fige enfin.
    
    Elle s’écroule sur lui et ils restent ainsi un long moment, sa queue toujours fichée en elle diminuant progressivement de volume.
    
    Ils se relèvent enfin, se rajustent. Elle ne cherche même pas à retrouver culotte et soutien-gorge qui gisent quelque part. Le sable s’est insinué partout en elle, dans ses cheveux, dans ses oreilles, sous ses seins, jusqu’entre ses fesses et dans son intimité. Il lui glisse,
    
    — J’ai rarement pris un tel pied, j’avais deviné que t’étais une bonne baiseuse… mais à ce point !
    
    Puis la ...