1. Histoires de la Bienheureuse Agnès 02


    Datte: 19/07/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDominiknic, Source: Literotica

    ... façon d'échapper à ces humiliations... Ivre morte, elle aurait au moins l'excuse d'être saoule, pour les autres, mais aussi pour elle-même, elle ne saurait plus trop ce qu'on lui imposerait et à quoi on la forcerait... Elle accepta donc les 3 ou 4 verres d'un vin fort et épais que chacun des hommes lui fit boire à la suite, presque sans qu'elle put respirer entre chaque. Pourtant tout son être luttait et résistait pour ne pas se laisser vaincre et assujettir aux humiliations...
    
    Elle dû supporter aussi les sucions et les morsures de ses tétons par les bouches impures et avinées qui lui aspiraient, lui tiraient, lui déformaient les bouts. Surtout les langottages du Françou avec son visage de singe grimaçant, dont la bouche édentée et déformée renvoyait à chaque halètement au ras de son torse une halène fétide et chargée de vinasse dont les effluves remontaient jusqu'à son visage, lui donnant des haut-le-cœur... A la fois d'ivresse et de dégoût, elle éprouva une irrépressible envie de vomir ; son estomac et tout son être se révulsa. Elle ne sut pas à quel revirement elle dut de résister à ces écœurements... Crispée, elle sentait le jus poisseux, qui remontait maintenant dans sa raie de derrière entre ses fesses, lui engluant aussi la rosette et même plus haut toute sa raie délicate et d'ordinaire si soignée... Elle n'osait penser à l'état de sa vulve et de son joli cul de jeune femme B.C.-B.G. Se sentir sale et souillée, envahie de pollutions, était pour elle une humiliation ...
    ... physique extrême. Une violence même. Elle ne supportait pas, viscéralement, de se sentir sale, cela la mettait psychiquement en danger : elle perdait ainsi, plus que par toute autre humiliation, son intégrité de femme, de personne...
    
    Ils n'arrêtaient pas de lui frictionner la poitrine avec la râpe de la vendange... Maintenant, à demi engourdie par le vin, cramponnée aux bords du cuveau pour ne pas perdre l'équilibre et tomber les fesses dans la vendange, ce qui aurait été la suprême déchéance, elle fermait les yeux, et attendait soumise, ce que les autres avaient décidé de lui faire subir... Elle sentit, une main douce et rassurante repasser les bretelles de sa jupe sur ces épaules et rentrer ses seins dans le haut de l'étoffe. Cela eut sur son psychisme un effet apaisant et calmant. Elle crût à un instant de compassion quand elle vit Brigitte lui réajuster le haut de sa robe avec douceur. Elle allait la remercier du regard quand Brigitte lui dit doucement :
    
    - ''Aller ça suffit! Tu les as assez montrés! Ils ne valent pas la peine que l'on en parle ni qu'on les regarde autant!". La remarque cingla Agnès comme une gifle, elle chancela sous le coup et sans doute aussi par le vin bu depuis quelques minutes. Elle défaillit, désarçonnée par la réplique cinglante qui l'atteint au ventre. Elle eut une brusque envie d'uriner et dû faire un terrible effort pour la réprimer et ne pas se laisser aller, ne pas s'abandonner à pisser là debout dans la vendange et devant tout le monde. ...