Histoires de la Bienheureuse Agnès 02
Datte: 19/07/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byDominiknic, Source: Literotica
... semblait que toutes ces pétasses à l'esprit embué de vinasse s'étaient fait le mot pour la molester, l'amoindrir à leurs yeux et à ceux des hommes du groupe. '' Les garces, pensa Agnès, elles se valorisent et rehaussent leur condition d'inférieures par le fait que je sois moins bien mamelue qu'elles! Ah, les salopes!... Si je le pouvais là, maintenant, je leur montrerais que je suis infiniment meilleure qu'elles sur bien des plans, ne serait-ce que sur la dimension des calibres qu'elles pourraient accepter dans leurs trous de cochonnes et je leur en remontrerais sur la façon d'être une salope... Elles pourraient toujours s'aligner, les garces! Je les bats et de loin!... ''. Mais il n'empêche que pour l'instant, c'est elle qui subissait...
A ce moment, Agnès eut vraiment l'impression d'une conspiration, d'une machination contre elle! Et le vieux, là haut, était-il réellement malade? Pourquoi la Toinette l'avait-elle laissée ainsi à ces gens? Et pourquoi ne revenait-elle pas? Toutes ces questions tourbillonnaient dans la tête d'Agnès, faisant écran à ses pensées et paralysant ses défenses de femme...
La Bernadette lui examina la poitrine avec dédain et lui pinça même de méchante façon le bout d'un téton ce qui lui fit très mal... Mais ce qui l'humilia par dessus tout, ce fut le geste de Brigitte. La petite salope rousse se mettant bien en face d'elle lui prit le bout de chaque téton et les tira lentement mais fermement vers le haut, les souleva, les décollant du buste ...
... d'Agnès, pointant ses seins parfaits en face et disant :
- '' Regardez, il faudrait les tenir comme ça pour qu'ils soient comme les miens! Vous voyez un peu ce qu'il faudrait comme soutien!". Et finissant sa phrase, elle ouvrit les doigts laissant retomber les seins d'Agnès, devant les siens toujours très droits... Il y eut des applaudissements. Agnès en aurait pleuré si son désarroi n'avait pas été aussi grand!... Déjà le Jacquot reprenait :
- ''Allez les gars, frottez-lui les nichons avec les raisins, histoire de voir si ça les redresse un peu!... Et frottez-les bien, hein!..."
Ce fut encore pour elle un moment effroyable : les raisins écrasés, déjà très foulés et dont il ne restait souvent plus que les tiges des grappes, lui meurtrissaient les seins. Le jus rosé, sucré et collant lui barbouillait le torse et coulait sur son ventre entre sa peau et la robe, s'insinuait dans son slip, lui mouillait le pubis, puis coulait, poisseux, dans sa fente, collant ses poils... Puis, il débordait du slip, pour couler sur l'intérieur de ses cuisses... On la fit boire, plusieurs verres à la suite comme pour rattraper le temps perdu... Le vin versé trop vite dans sa bouche et qu'elle ne pouvait avaler assez vite, dégoulinait le long de son visage, roulait sur sa poitrine et coulait lui aussi sur son ventre, s'insinuait également dans son slip et mouillait sa fente. Tout son entrejambes dégoulinait. Elle se mit à penser qu'elle allait se laisser enivrer et que c'était là la meilleure ...