1. Monique au domaine de pont royal


    Datte: 12/10/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Davidson, Source: Hds

    ... la bouche ouverte dans un long gémissement de jouissance, et l'entrejambe trempée de cyprine; à partir de ce jour là, chaque fois en prenant son travail, elle pensait au retour et à l'hypothétique jouissance. Elle n'avait pas mis bien longtemps à s'apercevoir que plus l'excitation était présente pendant son service, plus facile et plus intense était l'orgasme sur le chemin du retour.
    
    Elle n'hésitait pas à poser un sein sur l'épaule de l'homme à qui elle déposait une assiette devant lui, et même, si l'occasion s'y prêtait, transformer ce simple contact en effleurement, voire en frottement.
    
    Et puis un jour un pouce d'une main parvint jusqu'à la zone pubienne, elle fit comme si rien n'était, mais elle était excitée au maximum et son vagin trempé de cyprine. Et l'orgasme sur le chemin du retour fut grandiose.
    
    Elle était devenue "demandeuse" de ces contacts, et pour les provoquer elle portait des culottes/strings qui étaient de véritables oeuvres d'art (et qui lui coutait amplement le montant de ses pourboires) mais qui la conduisait à des orgasmes majestueux.
    
    Puis à un moment, le hasard fit qu'il y eut un remplacement à faire à la cafétéria/brasserie du club de golf qui faisait partie du même domaine, c'est donc avec sa tenue de tennis woman qu'elle se retrouva au golf-club 'où il n'y avait pratiquement qu'une clientèle masculine, mais clientèle plus discrète, plus distante que celle du tennis club.
    
    Les membres du club de golf furent charmés (et amusés) de voir ...
    ... cette jeune femme en tenue de tennis venir les servir (alors que la tradition était beaucoup plus austère)
    
    Le gérant de la partie cafétéria du club de golf avait bien noté cet intérêt, et s'arrangea pour que ce soit Monique et ses jupes de tennis qui assure les remplacements côté "golf"
    
    Monique pouvait constater que les mains étaient moins "aventurières" du côté des golfeurs, mais ceux-ci disposaient d'un "salon de rhé - fumoir" où ils pouvaient se retirer pour lire un journal ou fumer une pipe (une vraie pipe d'écume) après leur repas. Et là les pourboires n'avaient aucune commune mesure avec le côté tennis, et ceci sans se faire toucher la chatte.
    
    Pourtant les mains baladeuses manquaient à Monique, alors elle s'arrangeait pour s'installer de temps en temps sur un siège haut, les chevilles croisées, offrant son entrejambe aux regards des golfeurs (qui avaient l'habitude de regarder des trous de loin) et elle s'excitait ainsi parfois avec autant d'intensité que sous les doigts des joueurs de tennis.
    
    Un jour, alors qu'elle servait leurs cognacs à deux golfeurs dans leur fumoir, l'un des deux lui demanda "je viens de faire un pari avec mon camarade, accepteriez vous de m'embrasser ?"
    
    Monique fut amusée par cette proposition grivoise dans ce cadre aussi austère; elle répondit "Bien sûr, pourquoi pas ?" et elle se pencha en avant pour lui faire un bisou, mais ce fut une bouche ouverte qui l'accueillit, alors sans se démonter sa langue alla à la rencontre de la langue ...