1. Monique au domaine de pont royal


    Datte: 12/10/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Davidson, Source: Hds

    A l'orée de ses trente ans Monique venait de divorcer. Ayant refusé d'entrer dans une guerre de pension alimentaire (qui de toute façon en l'absence de tout enfant aurait été ridicule) elle avait décidé de faire une demande d'emploi au domaine de Pont Royal; elle y avait été recrutée comme serveuse à la cafétéria/brasserie du tennis club du domaine.
    
    Le fait, amusant dans un premier temps, que toutes les serveuses soient habillées en joueuses de tennis (petite jupe et tee-shirt). Dans un second temps elle s'était aperçue que les regards des hommes étaient souvent attirés par la limite jupe-pli fessier lorsqu'elle se penchait en avant à une table.
    
    C'étaient souvent des tables de deux ou de quatre couverts, avec une grande majorité de mecs.
    
    Assez rapidement ses copines de travail lui avaient indiqué que c'était mieux de porter une culotte ou un string plutôt qu'un shorty.
    
    De plus le trajet de quelques kilomètres en vélo lui offrait une relation pubis-selle intéressante, et elle arrivait souvent au travail avec l'entrejambe passablement excité.
    
    Au début ce ne furent que des mains qui se posaient au-dessus du genoux, sur l'extérieur de la cuisse, pendant la prise des commandes.
    
    Puis petit à petit, ces mains se posèrent sur l'intérieur de la cuisse, toujours légèrement au dessus du genoux. Il aurait été délicat de se mettre à protester devant une pratique qui semblait bien établie dans le club et qui ne semblait troubler personne.
    
    Puis un jour ces mains se ...
    ... mirent à monter et à descendre, en un mot se mirent à caresser l'intérieur de la cuisse pendant les prises de commande. Elle en parla à ses copines de travail qui lui répondirent "c'est parce qu'ils t'aiment bien, tu verras les pourboires varient comme les positions des mains; et effectivement, elle ne pouvait pas se plaindre de la générosité des pourboires.
    
    Au début du printemps la direction leur offrit des tee-shirts portant le logo "domaine de pont royal", mais dont l'échancrure du décolleté était très généreuse. L'une d'entre elles, au vestiaire déclara "c'est mieux sans soutien gorge", et c'est ce que la totalité des serveuses fit.
    
    Monique avait une poitrine généreuse mais relativement ferme, ce qui fait que ses mouvements se traduisaient par des mouvements de ses seins qui se signalaient comme "bien vivants".
    
    Effets du printemps et des jours qui augmentaient, les pourboires se mirent à augmenter également. Le travail était intense et souvent, excitée par les mains qui remontaient à l'intérieur de ses cuisses, c'était la selle de son vélo qui terminait le travail d'excitation sur ses grandes lèvres sur le chemin du retour (et elle veillait bien, en pliant plus ou moins les coudes sur son guidon, à gérer l'angle de son pubis et de l'avant de la selle) ... et puis un jour sur le chemin du retour elle eut son premier orgasme, c'était dans la longue descente où les vibrations provoquées par la route se transmettaient intégralement à son vagin, elle termina la descente ...
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