Les malheurs de Clotilde Ch. 05
Datte: 12/10/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... maudits, on me sodomise avec une lame chauffée à blanc. C'est incroyable comme le sexe d'un homme peut brûler une femme sodomisée de force, enfin double-sodomisée de force. Je ne fais plus que deux choses, enfin trois, hurler, souffrir et attendre la mort.
Mais pour l'instant, la mort ne viens pas. Alors je subie l'immonde pénétration du sexe de Greg dans mon anus. En plus de celui de Jérôme qui occupe déjà les lieux. Il progresse difficilement, de la même façon, de grands coups de reins, qui me font ruer et hurler de plus en plus fort. Beaucoup de force, pour peu de progression. Moi, je sent mon intérieur que se déchire, qui s'écarte, qui lui fait place sous son inéluctable progression. A chaque coups de reins, j'ai l'impression d'exploser, que des bouts de chairs se disséminent de partout dans la pièce. Que mon sang repeint la pièce blanche en rouge. Je ne suis plus que douleur et souffrance.
Et lui continue et continue, se moquant de ce que je vie, de ce que je ressent, de la douleur qu'il fait vivre en moi. Au contraire, à son sourire sadique, je vois qu'il est heureux de tout cela. Ce monstre est enfin lui. Adieu la belle façade du gentil collègue de travail et ami homo, bonjour le sadique pervers, le destructeur, le violeur. Moi, pauvre petite chose fragile, je suis désormais la victime de ses plus vils instincts. Il n'a plus qu'un seul but, faire de moi sa chose, son petit animal de compagnie, qui acceptera toutes ses volontés, qui endurera toutes les ...
... bassesses.
Je voudrais m'évader, au moins en pensée de ce que je subis, mais impossible, la douleur est trop forte, trop puissante. Trop vivante. Elle pulse en moi, irradie dans tout mon corps. Et grandit, grandit, à chaque coups de reins qui fait pénétrer sa chose encore plus loin dans mes entrailles. Je pourrais vous expliquer, décrire, dessiner, mon rectum, mes intestins, mes entrailles. J'en connais chaque centimètre, chaque recoin, la douleur me permet cela. Et ce fou me donne l'impression d'écarter de son sexe, mes poumons, mon cœur. Que tel une lance, il va ressortir par une quelconque partie de mon corps en me transperçant.
A force de hurler, ma gorge est en feu, mais j'ai tellement mal, qu'il est impossible de me taire. Mon corps dégouline de sueur, je tremble, que dis-je je tressaute. Mon intérieur se défend contre la violent intrusion, mais eux ont l'impression que je leurs branle le pénis grâce aux pulsations affolées de mes parois intimes. Greg prend son temps, savoure, espace ses coups de reins. Mon conduit anal contracté le serre à fond, mais cela reste, pour lui délicieux. Ce monstre me dit que j'ai un trou du cul de velours. Que je sais recevoir et donner du plaisir à un homme.
Finalement il se fiche lui aussi complètement en moi. Tout mon corps est crispé, mon visage déformé, ma bouche grande ouverte sur un hurlement sans fin. Mon anus est dilaté au-delà de ses possibilités. La douleur qui en émane en fait le point central de mon corps. Je les entends rire, ...