1. Les malheurs de Clotilde Ch. 05


    Datte: 12/10/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... moins... malheureusement...
    
    Quand, cette fois son gland se pose contre mon anus, et que ses doigts se crochent dans mes hanches, je comprends immédiatement ce qu'il m'attend. C'est encore pire que tout ce que j'ai pus imaginer dans tout les cauchemars que je fais depuis que Greg et sa clique s'occupe de moi. Bien pire qu'une double pénétration vaginale ou normale. « Normale » où en suis-je arriver pour penser qu'un viol fait en double pénétration est un viol normal? Je me rends compte que c'est la vérité, l'humain s'habitue à tout, quelle que soit sa condition.
    
    Je les supplies, en pleure, mais rien n'y fait, Greg force par-dessus le sexe de Jérôme, contre mon anus. Encore une fois, il force comme un malade, je le vois à son visage, je l'entend à ses grognements, et surtout je le sent à la poussée contre mon petit trou. Cette fois c'est sur, je n'y survivrais pas. Alléluia, merci mon dieu, même si j'aurais préféré une mort plus douce, un fin beaucoup moins atroce. Comme une crise cardiaque plutôt qu'une double sodomie... Mourir déchirer du cul... quelle infamie...
    
    Moi, je les supplies, et les supplies. Je leurs proposent de l'argent, je leurs demande de me tuer. Mais aucun ne répond. Peu à peu, mon petit trou que je contracte à fond s'ouvre. Puis un craquement sinistre résonne dans la pièce, suivit d'un hurlement non moins sinistre sortant de ma gorge, tandis que la moitié du gland de Greg vient de franchir le barrage de mon sphincter. Le fracassant en plusieurs ...
    ... morceaux. La douleur est telle, que cette fois ma ruade, fais que les deux sexe sortent de mon corps. Greg part à la renverse et s'effondre sur le sol, surpris par ma réaction. Jérôme à mal au sexe, qui s'est légèrement tordu lors du déculage forcé.
    
    J'ai mis une telle force dans ma ruade, que Meyer lâche mes chevilles, mes pieds heurtent alors son menton, le sonnant à moitié. Comme les mères qui réussissent des exploits quand leurs progéniture sont en danger, un regain d'énergie envahit mon corps. J'ai les mains menottés dans le dos, pourtant je me relève d'un bond. Je suis déjà dans les escaliers, quand je les entends sortir de la chambre en courant. Je dévale les marches deux par deux. Je ne sais pas encore où, mais il faut que je fuis. J'arrive à courir malgré mes orifices qui dégorgent toujours de sang. Mon anus se joignant maintenant à mon sexe. Je fonce vers la porte d'entrée. J'essaie de l'ouvrir de dos, mais elle est fermée à clé. Je ne pense à rien, je n'ai pas peur, tout mon cerveau est concentré sur mon évasion.
    
    Je me retourne, mes trois bourreaux sont en bas des marches. Je fonce dans le salon, je franchis les portes vitrées, qui restent ouverte dans cette douce nuit d'été. Je suis dans le jardin, ils se rapprochent. Je courts vers le portail d'entrée. Mais je ne l'atteins pas. Greg tel un rugbyman se jette sur moi. Il me manque, il s'écrase au sol, ses doigts effleurent mes fesses. Une brève seconde je pense pouvoir atteindre le portail ouvert. Mais du bout des ...
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