1. Voyage en Asie


    Datte: 11/10/2024, Catégories: fh, asie, couple, prost, sauna, amour, odeurs, massage, caresses, Oral fsodo, hdanus, rencontre, tarifé, Auteur: Cvices&delices, Source: Revebebe

    ... connaissance ni aucun voisin n’étaient en situation de le voir pénétrer dans ce lieu. Puis il poussa la porte.
    
    Son entrée qu’il avait voulu discrète fut trahie par le tintement des clochettes accrochées à la porte. Bien que peu éclairée, la pièce lui apparut immédiatement dans son ensemble. Ce fut d’abord la puissante odeur d’encens qui le saisit. L’air paraissait saturé d’un mélange de senteurs orientales qui peinaient à masquer l’odeur de renfermé et d’humidité. Deux canapés aux imprimés baroques et chamarrés trônaient au centre de la pièce, faisant office de lieux d’attente aux rares clients. Un petit comptoir artisanal en bois surmonté d’une sorte de gros chat en plastique doré saluant de la patte masquait l’accès à un étroit couloir.
    
    Une petite femme entre deux âges d’origine asiatique fit irruption.
    
    — Bonjour. Vous voulez un massage ?
    
    Vincent chercha ce qui ressemblait de près ou de loin à une grille exposant les prestations et surtout les prix.
    
    — Euh, oui, répondit-il à voix basse. Que proposez-vous ?
    — Vous avez le massage chinois. C’est quarante euros pour une heure. Sinon, vous avez le massage japonais. C’est cinquante euros.
    — Mmmh. Et quelle est la différence ?
    — Euh… le massage japonais est un peu plus appuyé et se fait avec une huile spéciale chauffée au moyen d’une bougie.
    — Et quoi d’autre ?
    — Vous avez aussi le massage à quatre mains, le massage tantrique, le body-body et aussi le massage des pieds et de la tête.
    
    Vincent réfléchit un ...
    ... instant. Les massages les plus chers présentaient un caractère ouvertement sexuel qui ne le tentait pas. D’un autre côté, il voulait plus qu’un simple massage de la tête et des pieds.
    
    — Je vais prendre le massage japonais dans ce cas.
    — D’accord. C’est cinquante euros.
    
    Vincent sortit son portefeuille pour y prendre sa carte bleue, mais la femme l’arrêta.
    
    — Pas de carte bleue ici.
    — Ah.
    
    L’idée de ressortir sous la pluie pour retirer du liquide à un distributeur fit redescendre sa bonne humeur. Heureusement, il se rappela avoir fait l’appoint la veille. Il vérifia et constata avec bonheur qu’il avait suffisamment et tendit les billets à son hôtesse.
    
    — Merci beaucoup ! lâcha-t-elle en saisissant la liasse dans un sourire manquant clairement de sincérité. Attendez ici un instant.
    
    La femme tourna les talons et héla quelqu’un dans une langue dont les sonorités chantantes laissaient peu de doute sur son origine. Quelques instants plus tard, Vincent vit apparaître une jeune femme, tout sourire, elle aussi d’origine chinoise, vêtue d’une petite robe volante d’un vert intense. Difficile de lui donner un âge, mais il estima qu’elle devait avoisiner la trentaine.
    
    — C’est Lili qui va vous masser, ajouta la matrone en l’invitant à suivre son officiante dans l’étroit couloir.
    
    Il était clair que ce prénom de Lili était un sobriquet d’emprunt destiné à fidéliser les clients qui pouvaient ainsi aisément le mémoriser. La jeune femme guida Vincent jusqu’à une des alcôves ...
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