1. Single malt, dix-huit ans d'âge


    Datte: 09/10/2024, Catégories: f, fh, hplusag, vacances, piscine, forêt, essayage, cinéma, collection, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme attache, délire, rencontre, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... sinistre est circonscrit, noyé dans un flot de semence. Je me rhabille alors… Mais quelque chose me dit qu’il reste encore quelques braises incandescentes tout au fond de mon ventre et je compte bien sur mon sauveur pour y jeter un coup d’œil dès que nous serons rentrés, on ne sait jamais…
    
    Un jour, peut-être, nous reviendrons à ce fameux moulin et ce qui n’est pour le moment qu’un fantasme deviendra réalité… Mais il me semble que vous connaissez le problème qui se pose.
    
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    Trique tantrique
    
    L’avantage d’un plan que l’on se fait tout seul dans sa tête, c’est qu’il n’a nul besoin d’être normal, moral ou même légal, et peu importe s’il est même un tantinet bancal.
    
    Faisons simple : jamais Michel ne me passera à la casserole. Est-ce que je le veux vraiment ? En fait, j’ai un immense plaisir à le chauffer – plaisir sans doute réciproque sans lequel il m’aurait renvoyée dans mes dix-huit mètres depuis longtemps – et je me demande si nous ne serions pas finalement déçus si nous passions véritablement à l’acte.
    
    Quoi qu’il en soit, il est là, devant moi, nu et offert, allongé sur un banc. La peau claire de son corps nu tranche sur le cuir matelassé de l’assise, mais aussi sur celui des entraves qui relient ses poignets et chevilles aux pieds de la planche. Tandis qu’une ceinture empêche son bassin de gigoter et qu’un coussin disposé sous sa tête lui assure un minimum de confort, je vérifie également que son bâillon-boule ne l’empêche pas de respirer… À ...
    ... partir de cet instant, en voiture Simone.
    
    Bien évidemment, je suis nue. Là, le plus simple serait que j’empoigne son sexe jusqu’à ce qu’il pointe vers le ciel et que je m’empale dessus, mais ce n’est pas le but… Quoiqu’en vérité, les hommes qui portent plainte parce qu’une femme les a violés ne sont pas légion !
    
    Bon… Commençons par lui enduire le corps d’huile de monoï dont le parfum délicat a toujours le don d’aiguiser mes sens. J’en mets partout, sur son torse, sur ses jambes, sur ses cuisses, mais, bien entendu, c’est avec une attention toute particulière que je m’attarde sur son service trois-pièces. Je décalotte, je redécalotte, je reprends un peu d’huile, je lui masse les bourses et lui faisant glisser les baloches entre mes doigts… Je crois que c’est à son corps défendant à en juger par ses grognements inintelligibles, mais j’obtiens bien vite ce que je voulais, un obélisque de chair tendue vers le ciel et dure comme de la pierre.
    
    À partir de cet instant, je sais que si je lui polissais le chinois de façon assez classique, j’aurais très vite fait de lui faire envoyer la purée, mais dans ce cas, pourquoi l’avoir attaché ? Pourquoi tout ce cirque ? Je pourrais aussi recommencer ce que j’ai déjà expérimenté avec des copains : lui tenir les joyeuses dans une main tout en le maintenant décalotté à l’extrême… Là, avec la main libre, tu le branles bien sûr, mais surtout tu caresses, tu griffes gentiment le bout du gland, tu fais glisser tes doigts pleins d’huile sur le ...
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