1. Single malt, dix-huit ans d'âge


    Datte: 09/10/2024, Catégories: f, fh, hplusag, vacances, piscine, forêt, essayage, cinéma, collection, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme attache, délire, rencontre, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... princière par une simple baie vitrée. Et là, tous les soirs, la belle se fait un plaisir de lui montrer qu’en réalité, elle peut très bien glisser ces fameuses chaînes sur le côté et en profite pour se faire grimper aux rideaux pour leur plaisir réciproque ! Pour y parvenir, elle utilise bien entendu ses doigts, mais également une représentation parfaite, en or massif comme il se doit, du sexe du prince, incrustée de diamants. Elle se désole d’ailleurs qu’aucun ne se dessertisse jamais.
    
    — Vous comprenez, mon prince, si d’aventure l’un d’entre eux venait à se détacher, vous seriez obligé de venir le récupérer là où il se trouve ! Si vous saviez combien tout cela me tarde…
    
    Vous vous en doutez, la vraie Éloïse, la mienne, n’a jamais porté trente kilos de chaînes,a fortiori en or, sur sa peau nue… Mais ce week-end-là, son seul vêtement a été celle qu’elle portait autour de la taille.
    
    Par contre, lorsque nous nous sommes raconté cet épisode, Éloïse m’a précisé que si ce rêve avait été le sien, elle se serait empressée d’y ajouter un passage où la future princesse s’empale sur son godemichet et se procure du plaisir en montant et descendant dessus. Problème, si l’affaire est relativement aisée au tout début et qu’elle accède bien vite aux portes de la jouissance, l’énorme charge qu’elle trimballe l’oblige régulièrement à s’arrêter à reprendre son souffle, l’éloignant à chaque fois du point de non-retour… Et que lorsqu’elle y parvient enfin après un nombre ...
    ... invraisemblable de tentatives, la jouissance mêlée à la fatigue fait qu’elle tombe dans les pommes… À son réveil, elle se retrouve dans le lit du prince, et… C’est une autre histoire.
    
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    Poker menteur
    
    Samedi après-midi… Dehors, c’est carrément la tempête : un vent à décorner les bœufs et des tombes d’eau glaciale s’abattent sur notre belle région. Impossible de sortir. Éloïse vient me voir.
    
    — Ça te dirait, un petit strip-poker ?
    — Pourquoi pas, mais habillée comme tu l’es, tu pars avec un sacré handicap.
    
    Comme à son habitude, elle ne porte qu’une robe, une paire de bas, probablement un porte-jarretelles et ses chaussures.
    
    — Aucune importance… Quand nous serons tous les deux à poil, il ne nous restera qu’à nous donner réciproquement des gages.
    
    Surpris autant qu’intrigué, je m’entends répondre favorablement. Mais en vérité, en fait de poker, je n’en connais qu’un seul, vaguement appris à l’armée. On distribue cinq cartes en deux fois à l’ensemble des joueurs, ces derniers ont la possibilité de rejeter deux fois une, deux ou trois cartes ou de se déclarer servis. Ensuite, on lance les enchères, chacun décide de suivre, de se coucher ou de relancer jusqu’à ce que d’un commun accord, les parieurs restants abattent leurs cartes et que le gagnant rafle la mise. Comment, ce ne sont pas les bonnes règles ? C’est fort possible, mais celles-ci nous ont permis de passer des soirées de folie où se faire ratisser signifiait perdre une dizaine de francs… Ou, en données ...
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