1. Single malt, dix-huit ans d'âge


    Datte: 09/10/2024, Catégories: f, fh, hplusag, vacances, piscine, forêt, essayage, cinéma, collection, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme attache, délire, rencontre, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... te préviens : à défaut d’être un photographe talentueux, je suis quand même plus Playboy que Penthouse.
    — C’est-à-dire ?
    — Que tu ne vas pas poser pour moi, tu vas simplement vaquer à tes occupations tandis que moi, je vais te suivre… Donc, tout devra avoir l’air naturel, quasiment involontaire.
    — Je ne te suis toujours pas.
    — C’est pourtant simple : si tu vois que je suis sur le point de te flasher sous la jupe, tu ne la relèves pas intentionnellement. Si j’essaie de fixer ta tire-lire sur la pellicule(enfin, c’est une façon de parler, vu qu’il s’agit encore une fois d’un numérique), tu n’écartes pas pour autant les jambes. C’est compris ?
    
    À partir de cet instant, c’est un véritable festival qui commence. Elle monte et descend l’escalier pour que moi, bien entendu placé en contrebas, puisse profiter de l’invraisemblable spectacle des ses jolies gambettes, de ses bas, de sa jupe qui frémit à chacun de ses pas… Son petit barbu, que je n’ai somme toute pas vu aussi souvent que ça, m’apparaît alors, en long, en large et en travers, je m’extasie de cette toison impeccablement peignée, de ces lèvres couleur de miel, du galbe de ce ravissant petit cul… C’est bien simple, en moins de dix minutes, les accus de mon appareil crient grâce, et la carte mémoire n’est pas loin de faire de même.
    
    — Ne t’inquiète pas, j’en ai d’autres… Je reviens.
    
    Deux minutes plus tard, elle s’est simplement assise dans les marches de l’escalier et, exactement comme je lui ai demandé, n’a pas ...
    ... trafiqué intentionnellement la pose. Non, elle n’a pas, comme on le voit trop souvent dans certaines revues – et aujourd’hui sur internet –, les compas ouverts à l’équerre et la moule offerte aux quatre vents… Mais ce n’est pas pour autant que son sillon intime agrémenté de quelques poils follets se cache à ma vue, et le contraste de ses bas noirs sur sa peau claire est absolument fabuleux.
    
    Et c’est reparti pour une nouvelle série ! Eh bien non, en fait, puisque le carillon de la porte vient de retentir. Un coup d’œil à la fenêtre, c’est Georges, un pote avionneux… Et je ne peux raisonnablement l’envoyer bouler, il m’a dépanné trop de fois sur le terrain pour le laisser tomber. Et puis je le connais, il va lui falloir trois bricoles qu’il n’a simplement pas en stock, cela ne durera pas longtemps… Mais, par précaution, je fais discrètement signe à Éloïse de se planquer… Prudence est mère de sûreté.
    
    Pas manqué, il est en rade de corde à piano et de guignols… Que je m’en vais de ce pas lui chercher ! En temps normal, je l’inviterais à descendre dans mon antre, mais une mauvaise chute lui rend les escaliers difficilement praticables, je le laisse donc patienter quelques instants dans le salon.
    
    Lorsque je reviens, le gaillard n’a pas bougé d’un centimètre… Mon apprenti modèle non plus, d’ailleurs, toujours assis tout en haut de l’escalier, hors de la vue de mon camarade qui, naturellement, ne se doute de rien.
    
    Parce que là-haut, c’est la foire ! J’avais demandé à ce ...
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