1. Single malt, dix-huit ans d'âge


    Datte: 09/10/2024, Catégories: f, fh, hplusag, vacances, piscine, forêt, essayage, cinéma, collection, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme attache, délire, rencontre, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... rhabiller, et nous ressortirions du bâtiment où le froid me ressaisirait, faisant durcir encore un peu plus la pointe de mes seins et frigorifiant mon entrejambe pourtant brûlant comme l’enfer…
    
    Alors, je profiterais de la moindre porte de garage restée ouverte pour l’attraper par la main, et là, profitant de ma tenue, il me prendrait comme ça, directement sur le mur, sans la moindre préparation… Je m’efforcerais de retenir mon cri de triomphe lorsque sa queue franchirait la porte de mon jardin secret et je serrerais les dents plus fort encore lorsqu’il se déverserait en moi… Mais tout cela, ce n’est valable que dans ma tête : faute d’avoir Michel avec moi, j’en suis simplement resté à l’expérience de me promener nue sous mon manteau en me disant que, finalement, ce n’est déjà pas si mal.
    
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    Héroïne de manga (ou presque)
    
    Vendredi soir : la météo est exécrable, le financement du dernier contrat que j’aurais dû signer s’est avéré foireux jusqu’au trognon. Il fait nuit… Fin de journée de merde, succédant à une semaine de merde ? Et ben non, pas tout à fait, puisque Éloïse vient de rentrer de la fac.
    
    En fait, elle revient quasiment tous les week-ends, sauf quand elle est invitée à une soirée ou qu’elle en organise une elle-même. Et encore, dans ces cas-là, il est bien rare qu’elle ne passe pas le dimanche à la maison.
    
    Elle entre, pose son sac, me fait la bise, nous échangeons quelques banalités.
    
    — T’as un dossier à finir ou je peux te parler ?
    — ...
    ... Non, vas-y… ça attendra lundi. Et peut-être que d’ici là j’aurais trouvé l’idée géniale pour refourguer ce maudit projet à quelqu’un d’autre
    — Dans ce cas, emmène-moi à la Conciergerie, j’ai quelque chose à te faire voir.
    
    En fait, la Conciergerie est un centre commercial comme il en existe des centaines d’autres en France… Mais à cette heure tardive, et compte tenu du temps dégueulasse, le moins que l’on puisse dire est qu’il n’y a pas foule. Elle m’attrape par le bras.
    
    — Voilà… J’aimerais que tu me dises ce que tu en penses.
    
    Ce que j’en pense ? Comment dire ? Il s’agit de la parfaite tenue d’étudiante d’inspiration japonaise, avec la courte jupe écossaise à carreaux bleus et verts, le chemisier blanc et la cravate assortie.
    
    — Ce que j’en pense, c’est que si cela te plaît, tu aurais pu l’acheter toi-même, au pire je te l’aurais remboursé.
    
    Comme toute bonne étudiante qui se respecte, Éloïse est éternellement en galère de thunes, et ce n’est pas ces cent francs à peine qui me mettront sur la paille.
    
    — Oui, sourit-elle, mais ce n’est pas l’idée…
    
    Elle s’accroche à mon bras comme une gamine devant un magasin de jouets.
    
    — … ce que je voudrais, c’est que tu me l’offres, mais à la condition expresse de ne jamais la porter autrement que la mouflette à l’air.
    
    J’en reste sur le cul… Certes, depuis le lointain épisode de la robe au MacDo, je ne m’étonne plus de rien, mais tout de même.
    
    — Tu veux que je te demande de la porter sans culotte ?
    — Et sans soutif ...
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