1. Bal de campagne


    Datte: 08/10/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... au fond du couloir. Cet aprem, on va se baigner, tu veux venir ?
    
    - Pourquoi pas.
    
    - Pierre doit venir aussi, alors à tout à l’heure. Dit elle avant de s’enfuir, sexy en diable dans son petit short en jean et son débardeur, un peu trop large.
    
    Je profite de cette fin de matinée, déjà chaude, et m’octroie un solide breakfast. Le pain est bon, la confiture aussi, et je déguste mon café à petites gorgées, quand Cathy arrive, vétue d’un long tee-shirt rose, les cheveux en bataille, les yeux encore collés de sommeil.
    
    - Salut, me dit elle.
    
    - Salut, bien dormi ?
    
    Elle ne daigne pas me répondre, et se dirige vers les placards, sur le mur opposé. Elle ouvre une porte, et se hausse sur la pointe des pieds, pour atteindre un bol sur l’étagère du haut. Dans le mouvement, le tee-shirt remonte et me dévoile un fessier, petit mais bien rond, avant de retomber. Elle se retourne et vient s’asseoir, face à moi, pour se servir un café, qu’elle sirote en me dévisageant, par dessus son bol.
    
    Je termine mon repas, et me lève pour aller ...
    ... poser, à mon tour, mon bol dans l’évier, avant de sortir, suivi des yeux par la donzelle.
    
    Je trouve facilement la salle de bains. J’avise des serviettes sur une étagère et en prends une avant de me faufiler dans la douche.
    
    Quand j’ouvre la porte pour sortir, je me retrouve face à Cathy, qui me lorgne de la tête aux pieds, sans se soucier de ma pudeur. J’attrape une serviette et m’enroule dedans.
    
    - Tu as fini ? demande t’elle alors.
    
    - Oui, je vais juste me brosser les dents.
    
    Saisissant le bas de son tee-shirt, elle le fait passer par-dessus sa tête, et le balance à terre, m’apparaissant nue comme un ver. Elle est toute en longueur. Des attaches déliées, des seins menus mais pointus, un ventre plat et des hanches à peine marquées pour une fille, un pubis entièrement rasé qui découvre un petit abricot un peu renflé, et de longues jambes fines. Elle m’a laissé quelques secondes pour la détailler, avec l’ombre d’un sourire au coin des lèvres, avant de s’engouffrer dans la cabine, dont le verre dépoli floute ses trésors. 
«12...6789»