Bal de campagne
Datte: 08/10/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Poesexe, Source: Hds
... rosette et s’introduire dans mon cul.
Je la repousse car je ne vais pas tenir très longtemps à ce rythme.
Elle comprend vite mon souci, et remonte pour m’enfourcher. Elle met ma bite en contact avec sa chatte et s’empale dessus. Elle est brûlante, et je sens avec délices mon sexe s’enfoncer en écartant ses chairs, sans résistance.
Je m’empare de ses seins que je caresse tout autant que je les malmène, mes bras aidant le mouvement d’ascenseur opéré par tout son corps qui vient régulièrement se planter jusqu’à la garde de mon sexe, avec des claquements de peau qui s’accélèrent. Les halètements de la brunette rythment notre coït. Je ne la lâche pas des yeux pendant que le plaisir imminent déforme ses traits. Bouche grande ouverte, elle se met à gémir de plus en plus fort, en prononçant des mots inintelligibles.
Elle ajoute encore de la vitesse, comme prise d’une danse de saint Guy,se penchant en arrière. Elle saisit mes bourses, et les malaxe d’une main. Mes mains sont sur ses hanches et lui impriment des saccades de plus en plus violentes. Je sens mon plaisir irrépressible partir en jets brûlants, tandis qu’elle râle fortement à chaque élan, jusqu’à ce que la source se tarisse petit à petit. Elle s’écroule sur moi et nous restons, de longues minutes, sans bouger.
Elle reprend vie, d’un coup et se relève. Elle s’essuie avec une des serviettes qu’elle a apportée et enfile son pull et ses chaussures. Elle vient m’embrasser, et me murmure :
- Tu fais une bien ...
... meilleure affaire qu’avec ma sœur
Puis, sur un sourire elle attrape son futal en cuir, et se dirige vers la porte. Je me lève pour aller refermer derrière elle, et éteindre la lumière extérieure. J’ai juste le temps de la voir trottiner dans la cour, son cul rebondi dansant au-dessous de son pull.
Le lendemain, quand j’ouvre un œil, il fait déjà grand jour. Je m’habille et sors. La cour de la ferme est déserte, mais la porte de l’habitation est ouverte. Je descends les escaliers de bois, et m’approche du corps principal. Je toque à la porte ouverte avant d’entrer.
Marie apparaît dans le grand couloir.
-Entre, viens prendre un petit dej !
Je la suis dans une vaste cuisine assez dépouillée. Elle vient m’embrasser avant d’aller s’asseoir devant un bol de café fumant.
-Assieds toi, dit elle en désignant une chaise au bout de la grande table rectangulaire où un bol m’attend.
-Tu as du café chaud dans le thermos (elle le montre ), du pain, de la confiture maison , et même des croissants.
- Tes parents ne sont pas là ?
-Papa est aux champs, et Maman est partie faire des courses. Je les ai prévenus que tu étais là. Visiblement, mon père connaît bien le tien. Il m’a dit qu’ils ont fait les 400 coups ensemble , dans leur jeunesse.
- Je l’ignorais.
Elle finit son bol et se lève pour aller le déposer dans l’évier.
- Je dois aller nourrir les lapins. Finis tranquilement.
- Je ne vais pas m’éterniser. Puis-je prendre une douche ?
- Oui, c’est à droite ...