Marie Claire
Datte: 19/07/2019,
Catégories:
fh,
amour,
vengeance,
Oral
pénétratio,
fsodo,
init,
mélo,
amourdram,
Auteur: Bertrand d, Source: Revebebe
... elle acceptait mes conditions. Pas question de repas. Nous sommes allés directement au lit. Elle a accepté toutes mes exigences, même quand je lui ai pris la tête à deux mains, caressant ses oreilles bizarres. Je me suis vidé dans sa gorge, elle a tout avalé. Après un moment de repos, nous avons baisé, encore mieux qu’à l’ordinaire, c’est vraiment un bon coup. Et elle a pris son pied. Mais je n’ai pas éjaculé, je me réserve pour le moment crucial.
— Alors tu es prête, tu acceptes ?
— Puisque tu l’exiges pour rester avec moi. Je t’aime tellement.
— Tu as de la vaseline pour que ça passe mieux ?
— Oui, j’en ai préparé, mais vas-y doucement, ne me blesse pas.
Je la fais mettre à quatre pattes et après lui avoir bien enduit le cul, je m’enfonce lentement entre ses fesses avec beaucoup de précautions. Je suis correct tout de même. Elle s’est détendue, ma queue s’enfonce difficilement. Après un moment d’arrêt, je manœuvre un long moment avant de me vider dans ses intestins. À aucun moment elle n’a protesté, ni, bien sûr, exprimé de joie. Sa part de marché remplie, elle pense que j’accepte de rester avec elle, de vivre en couple. Elle se trompe vachement. Elle tient à arroser notre union, le champagne est au frais. Autant en profiter.
— Nous ne nous quitterons plus jamais, à partir d’aujourd’hui, nous serons unis jusqu’à la mort.
Heureuse, malgré son dépucelage, nous avons bu, puis elle m’a proposé de remettre ça. Pourquoi pas, pour la dernière fois, autant ...
... profiter de son cul tout neuf. Si elle n’avait pas été enceinte, j’aurais aimé la garder un peu plus longtemps, tant pis. Et après, je lui annonce que je la largue. Nous retournons au lit.
-o-o-O-o-o-
Oh, ce que j’ai soif et mal au crâne ! Il est vrai qu’après une telle séance, ce n’est pas étonnant. Je me suis écroulé, je ne me souviens même plus comment on a fini. Elle est déjà levée, en train de me préparer mon petit déjeuner. Il faut reconnaître qu’elle est sensationnelle. Ça va être terrible quand je vais lui annoncer. Je ne l’entends pas, elle est probablement allée chercher des croissants. Je vais me doucher en l’attendant. Dans la salle de bain, pas de serviette, même pas de savonnette. Rien non plus dans les placards, que se passe-t-il ? Tout nu, je vais dans la cuisine. Impeccable, elle a déjà tout nettoyé. Ah, elle m’a laissé un petit mot sur la table, avec dans un vase un petit bouquet. Je le lis. Tout se met à tourner, je m’écroule sur une chaise, me pinçant, me mordant la lèvre pour savoir si je ne rêve pas :
Ce n’est pas vrai ! Le 7 avril, c’était le mardi après Pâques quand nous étions au Sénégal avec Hervé. Ça va, j’ai compris, c’est une blague. Elle a voulu me faire peur, elle a fabriqué ça sur son ordinateur. Eh bien, tant mieux, au moins, l’affaire est réglée, tout est terminé entre nous. Mais je ne la comprends pas, elle a accepté de se laisser enculer cette nuit. En tout cas, je me tire. Je m’habille rapidement et vais à la porte. Fermée à clé. Porte ...