Marie Claire - Histoires de Sexe

Marie Claire

... est divine, je crains à un moment d’éclater sur elle.

— Je t’en prie ma chérie, arrête-toi, tu m’excites trop. À mon tour de te contempler.

Elle me libère, s’assied. Je m’installe à genoux entre ses jambes que j’écarte. Un duvet châtain, non taillé, de la couleur de ses cheveux. Mets appétissant et je dois me retenir pour ne pas lui sauter dessus. Je reste une minute sans bouger, comme émerveillé.

— Tu peux toucher, me dit-elle, cela ne mord pas. Caresse-moi.

Alors doucement je lisse cette douce fourrure. Puis un doigt en descendant accroche une petite aspérité. Marie sursaute. Du bout de l’ongle je gratte comme pour effacer ce supposé défaut. Elle commence à souffler plus rapidement. J’insiste un peu, puis pose mes lèvres. Elle est surprise. Tout d’abord j’embrasse, puis ma langue entre en action. Dans ce domaine-là je ne suis pas un novice. La respiration rapide se transforme en gémissements puis en petits cris. Pendant ce temps un doigt vient effleurer son intimité. Et je reçois en remerciement un épanchement important pendant que la suppliciée crie son bonheur. Je m’arrête, demandant d’un air innocent :

— Mon dieu, je t’ai fait mal ?
— Oh non ! C’était merveilleux. Tu m’as donné un plaisir extraordinaire, mieux que quand c’est moi…

Elle se tait, regrettant d’avoir trop parlé.

— Que quand c’est toi qui te caresses. N’aie pas honte, tout le monde le fait, moi le premier. On ne peut pas vivre sans jouir, c’est malsain.
— Oh David, je t’aime, tu es un ...

... homme merveilleux. Tu m’as fait connaître le paradis.
— Tu verras, ce sera encore meilleur quand tu feras l’amour avec ton mari. La première fois sera peut-être un peu délicate, mais ensuite, c’est le bonheur garanti. Pour cela il te faudra trouver un homme bien, que tu aimes, et qui sache faire l’amour. Mais il est rare de le trouver dès la première fois. C’est pour cela que les jeunes filles ont souvent plusieurs expériences.
— Je comprends maintenant leur comportement. J’aimerais pouvoir connaître ce bonheur.

Elle reste silencieuse, préoccupée. Je comprends qu’elle veut que je la baise, mais n’ose me le demander. Je ne veux pas lui proposer, je vais agir autrement.

— Je crois que je vais rentrer, tu es tellement belle que j’ai peur de ne pouvoir me maîtriser.
— David, tu ne voudrais pas me faire femme, me dépuceler ?
— C’est une chose importante, ce n’est pas à moi de décider ou de te l’imposer comme font certains goujats.
— C’est moi qui te le demande, baise-moi.

Je simule quelques instants d’hésitation.

— Je t’en prie, fais-moi l’amour.
— Je veux bien te rendre ce service, mais il faut que nous nous préparions.

Nous reprenons tout le cycle que nous venons d’exécuter. Je finis de l’échauffer par un cunnilingus particulièrement réussi.

— Viens vite David, je sens monter le plaisir.

Je l’allonge, me place sur elle, prêt à la transpercer.

— Marie, pourrais-tu mettre en place mon sexe, je ne voudrais pas te faire mal.

Elle me prend en main et ...