1. Marie Claire


    Datte: 19/07/2019, Catégories: fh, amour, vengeance, Oral pénétratio, fsodo, init, mélo, amourdram, Auteur: Bertrand d, Source: Revebebe

    ... de Marie l’a complètement abattue, elle est hospitalisée. Dans la maison, il était interdit de prononcer ton nom, et ni maman, ni Marie n’ont jamais voulu rien me dire sur les raisons de ton départ.
    — Et le vieux con ?
    — Bien qu’il reste impassible, il est salement touché. Perdre ses deux filles, et encore, il ne connaît pas les raisons pour Marie !
    — C’est lui qui l’a tuée, elle serait retournée à la maison si elle n’avait pas eu peur de se faire jeter dehors, et le problème aurait pu se résoudre. Avec Marie, nous étions restées en contact, pas assez malheureusement. Elle m’avait donné ton numéro de portable au cas où…. Tu n’étais pas là quand je suis partie et personne n’a osé te dire les circonstances exactes.
    — Non, en effet, le sujet était tabou. Maman et Marie étaient trop tristes.
    — Tu le connais, le con, vingt-cinq ans de Légion étrangère, catholique intégriste, c’est le tyran dans la maison. Il décide de tout, ne tolère aucune remarque. En terminale avec nous, il y avait Paul, le fils de l’adjoint communiste. La seule fois où j’ai osé dire que, malgré ses idées, Paul était un type bien, j’ai eu une altercation terrible avec le vieux. Il nous a interdit de lui parler. Paul est mort dans un accident de la route. Toute la ville a été touchée par ce décès. Je suis allée à son enterrement. Je suis arrivée à la maison en pleurs. Le vieux m’a demandé la cause de mon chagrin. Je lui ai appris la nouvelle.
    — Un coco de moins, c’est une bonne chose. Heureusement, que je ...
    ... vous avais interdit de le voir et de lui parler. Toute pâle je l’ai regardé, et me suis mise à hurler :
    — Salaud, tu es heureux de sa mort ! Tu es le plus infâme fumier que j’aie jamais vu. Je te déteste.
    — Tais-toi, fille indigne, respecte ton père. Demande-moi pardon.
    — Mais pauvre con, non seulement je lui parlais, mais nous nous aimions, nous baisions ensemble. Il avait trouvé un emploi et nous allions partir, pour élever notre enfant. Car je suis enceinte, de lui. Et vous, les deux pères, vous étiez trop cons, l’un et l’autre, pour nous comprendre, vous n’auriez pas accepté notre union.
    — Dehors, salope ! Je ne veux plus te voir, tu n’es plus ma fille.
    — Sois tranquille, je prends mes affaires et je m’en vais.
    — Tu ne prends rien, débrouille-toi toute seule. Je devrais même te chasser toute nue !
    — S’il n’y a que ça pour te faire plaisir, il y a tellement longtemps que tu cherches à me voir à poil.
    
    Je me suis déshabillée, entièrement, devant maman et Marie.
    
    — Rince-toi l’œil vieux cochon. C’est mieux que les films pornos que tu regardes en cachette dans ton bureau. Je suis belle et tu as toujours eu envie nous baiser, Marie et moi. Mais tu peux te branler. Et je pars, à poil.
    
    Maman s’est effondrée sur sa chaise, Marie est partie dans sa chambre en pleurant. Je savais qu’elle y viendrait. Quand je l’ai vue, j’ai frappé au carreau, elle m’a d’abord donné des vêtements puis m’a préparé une valise. Elle a récupéré mon argent et m’a passé le sien. Je me suis ...