1. Ma mère, Marie-Laure


    Datte: 07/10/2024, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: byMiloussa, Source: Literotica

    ... satin de l'une de ses culottes portée saisie dans le panier de linge sale. Après avoir éjaculer dans le lavabo je pense être calmé pour un petit moment mais il n'en est rien. Elle m'obsède tout en sachant qu'il ne pourrait rien se passer entre nous, enfin normalement....
    
    Alors que nous déjeunons, je reluque son cul chaque fois qu'elle se lève de table, il faut dire que son pantalon le moule à merveille. Son chemisier bien que fermé jusqu'au dernier bouton ne fait rien pour calmer mon trouble, un des boutons s'est défait et, par instant, j'aperçois le bonnet en voile et dentelle blanc du soutien gorge maternel.
    
    C'est le début de l'été et après déjeuner, une sieste est de rigueur. Elle me permettra bien évidemment de me soulager car je bande à nouveau. Je laisse la porte de ma chambre entrouverte, espérant qu'elle vienne me rejoindre et s'occuper de ma verge qu'elle a bien inconsciemment mise en émoi.
    
    Je l'entends se lever et mon cœur se met à battre plus vite, est-ce possible qu' elle vienne me voir. En fait, elle se dirige vers la cuisine pour boire et je peu admirer son cul énorme dans la raie duquel se perd sa culotte blanche, ma queue est redevenue molle et je ne parviens pas à la faire durcir à nouveau, il faut dire que cette vision est brève. Je m'allonge de façon indécente sur le dos, les cuisses largement ouvertes. Lorsqu'elle revient je garde les yeux mi-clos et peux ainsi voir ses lourdes mamelles pendantes se ballotter à ses pas. Je ferme mes yeux ...
    ... lorsqu'elle s'approche de la porte de ma chambre et je sens, quelques instants, sa présence dans l'entrebâillement de la porte. Je m'en veux de m' être fait jouir si vite...elle aurait pu admirer son fils en érection, ne sachant pas, évidemment, que c'était pour elle qu'il bandait si fort.
    
    Je finis par m'endormir réellement, la fatigue de la balade en vélo et les branlettes aidant.
    
    Lorsque je me lève, ma mère est assise au salon vêtue d'une simple combinaison blanche sous laquelle ses seins sont libres.
    
    -Tu as bien dormi on dirait, mon fils.
    
    -Oui, j'étais fatigué.
    
    -J'ai vu ça, tu dormais comme un bébé lorsque je me suis levée pour aller boire.
    
    Tout en parlant de banalités mais je peux m 'empêcher de voir, malgré le tissu, ses seins lourds nus ; leur auréole brune et large. Il est vrai que les tétons pointent vers le bas et me rappelent, comme si c'était nécessaire, le mouvement des mamelles blanches entrevues dans le couloir cet après-midi.
    
    -Cela te dit, maman, d'aller manger une glace au bord de la mer, on aura peut être un peu de fraîcheur .
    
    -Avec plaisir, et tant pis pour ma ligne
    
    -Ne te soucies pas de ta ligne, cultives plutôt tes rondeurs, maman. Tu es belle ronde et non pas filiforme.
    
    -Merci pour ces compliments mon chéri, allons-y, faisons nous beaux pour sortir.
    
    Je saisis ma mère par la hanche en nous dirigeant vers nos chambres et mon poignet sent le sein lourd reposer sur lui. Je n'ai qu'une envie : prendre ses seins à pleine mains et les ...
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