Ma mère, Marie-Laure
Datte: 07/10/2024,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: byMiloussa, Source: Literotica
... qui, quand il passe près de nous, baisse son regard vers l'échancrure de la tunique .
-Y en a qui ont de la chance d'avoir un tel point de vue.
-Ne sois pas jaloux il faut savoir partager mon fils, dit-elle en riant.
Elle croise ses bras qu'elle pose sur la table en faisant remonter sa poitrine et se penche légèrement en avant.
-Dans ces conditions, je veux bien partager ....
Elle sourit.
-J'ai deux admirateurs mais l'un est trop jeune et l'autre est mon fils, je n'ai pas de chance décidément.
-Je suis sûr que d'autres hommes sont sous ton charme.
-Penses-tu, la plupart ne cherchent qu'une chose, tu le sais bien. Allez rentrons, l'averse ne va pas tarder, le ciel est bien couvert.
En quittant la terrasse je la prends par la taille, certain que les hommes reluquent son gros cul moulé de façon indécente par le corsaire. A cet instant je suis convaincu que nous devions devenir amants peu importe qu'elle soit ma mère, cette femme me rend dingue, son ingénuité, son corps voluptueux, tout en elle suscite un désir sensuel mais aussi amoureux . Oui, je suis purement tombé amoureux de ma mère, je dois l'admettre, au diable les tabous et la morale. Je suis certain qu'elle, aussi, éprouve du désir,sinon je ne comprends pas son attitude envers moi, il ne peut s'agir d'une simple absence de pudeur entre mère et fils. Elle ne le désire peut-être pas consciemment mais son désir de séduction me semble évident.
Lorsque nous rentrons, elle revêt sa combinaison ...
... sous laquelle elle ne porte toujours pas de soutien-gorge.
-Ferme la porte du balcon Etienne; l'orage arrive.
Tu es sûre maman?
-Oui j'ai vu un éclair.
Quelques instants plus tard, le tonnerre se fait entendre.
-Je n'aime pas les orages, j'ai peur du tonnerre et des éclairs.
-Je ne le savais pas, c'est récent?
-Non mais lorsque tu étais petit je prenais sur moi, je ne voulais pas te transmettre ma peur.
-Tu es adorable maman, viens dans mes bras.
Elle me rejoint sur le canapé après avoir débranché le téléviseur. L'orage l'inquiète vraiment.
Elle se love dans mes bras et pose sa tête contre ma poitrine. Elle a sous les yeux la braguette ouverte de mon caleçon découvrant ma verge. Elle ne me fait aucune remarque et je m'enhardis à l'embrasser dans le cou sans toutefois oser poser mes lèvres sur sa bouche alors qu'elle me semble soumise ; prête à accepter tout de moi. Nous restons ainsi enlacés à nous cajoler. Ce ne sera pas pour tout de suite. Une chose est de se dire que la morale n'a aucune importance et, une autre de passer aux actes. Mais ce n'est que partie remise, c'est certain.
Le dimanche matin je fais la grasse matinée, pas de sport aujourd'hui mais du farniente, dans l'espoir qu'il se passe quelque chose entre nous.
Lorsque je me lève, elle termine son petit déjeuner attablée à la cuisine vêtue d'un peignoir mal fermé qui cache à peine sa poitrine et lorsque je l'embrasse, elle étire son visage vers moi faisant par la même occasion ...