1. Perte de contrôle


    Datte: 05/10/2024, Catégories: f, fh, grp, hbi, inconnu, Collègues / Travail ascenseur, hsoumis, fdomine, humilié(e), chantage, photofilm, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral 69, fgode, fdanus, fsodo, hdanus, hgode, Partouze / Groupe jeu, attache, baillon, dominatio, Auteur: Loupiotte, Source: Revebebe

    ... suis rasé. Et je voulais vous remercier, car j’aime bien cette sensation.
    — C’est bien, mais par contre, nouvelle règle, ce n’est pas toi qui m’écris, tu n’as que le droit de répondre. D’accord ?
    — Oui Ma Dame.
    — Bien. Mais comme tu m’as écrit ce soir, tu n’auras pas de nouvelles demain. Et interdit de te branler d’ici à ce que je t’écrive à nouveau, j’espère que c’est clair. Bonne nuit
    — Bonne nuit à vous Ma Dame.
    
    Je passe la soirée à repenser à tout ça, j’ai besoin de faire le point. Après mûre réflexion, je décide de jouer le jeu à fond, et d’impressionner Ma Dame jusqu’à ce qu’elle craque et m’invite chez elle. Je bande comme un taureau, mais son interdiction est restée dans ma tête, et je me couche sur la béquille.
    
    Le lendemain, vêtu d’un slip blanc serré sur mon sexe glabre, je monte dans l’ascenseur vide, les pensées occupées par ma journée de travail. Au moment où les portes se ferment, une main finement manucurée se glisse entre les portes, et Ma Dame se faufile juste devant moi sans me jeter le moindre regard. Je suis pétrifié, je ne sais pas comment réagir. Mon sexe lui bondit dans mon slip, ce qui m’arrache une petite grimace car cela serre beaucoup plus que mes vieux caleçons. Elle me tourne le dos, m’ignorant complètement. Elle descend au 3e, et je continue vers mon étage, déçu, excité, frustré, la queue douloureuse dans mon slip. L’ascenseur émotionnel par excellence. Ma journée se passe normalement, même si j’ai un peu de mal à me concentrer, et ...
    ... que je ne peux m’empêcher de sourire en allant aux toilettes.
    
    Je rentre chez moi, un peu triste de n’avoir pas eu la moindre attention de la journée. Je me couche tôt ce soir-là, toujours sur la béquille… Au réveil le lendemain matin, un message m’attend déjà sur mon téléphone :
    
    — Aujourd’hui, tu viendras nu sous ton pantalon au travail. Attends le reste de mes instructions.
    — Bien Ma Dame.
    
    Vers 10 h, juste quand tous les employés commencent à prendre un café et que je remonte de ma pause clope, ma poche vibre :
    
    — Je veux une photo de ton pantalon ouvert sur ta bite bien bandée sans que tu bouges de ton bureau
    — Mais je travaille en open space !
    — Tu crois que je ne le sais pas ? Tu as 15 minutes.
    — Mais comment je vais réussir à bander dans cette situation ?
    — Regarde dans ton tiroir du bas
    
    Je l’ouvre, et je découvre et je découvre une culotte blanche plutôt sage, mais avec une grosse tâche d’humidité sur le devant. Je la prends au creux de mon poing, et alors que des collègues sont autour de moi, je la sens. C’est trempé, et ça sent son odeur. Mon sexe frotte contre mon pantalon immédiatement, je bande à mort. Elle est diabolique ! Elle a réussi, pendant ma pause clope, à déposer une culotte trempée de mouille dans mon tiroir, sans que personne ne s’en rende compte. Mais comment a-t-elle fait pour que sa culotte soit trempée ? Je suis soufflé par les talents de Ma Dame. Je regarde autour de moi, personne ne regarde dans ma direction, ni ne se dirige vers ...
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