1. Perte de contrôle


    Datte: 05/10/2024, Catégories: f, fh, grp, hbi, inconnu, Collègues / Travail ascenseur, hsoumis, fdomine, humilié(e), chantage, photofilm, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral 69, fgode, fdanus, fsodo, hdanus, hgode, Partouze / Groupe jeu, attache, baillon, dominatio, Auteur: Loupiotte, Source: Revebebe

    Ça fait trois semaines que j’ai commencé ce nouveau boulot. En ville, dans une grande boîte, c’est déjà bien assez pour me déstabiliser, moi le gars de la campagne un peu asocial. Heureusement, l’accueil a été sympathique, et je commence à trouver mes marques. Le trajet bien relou en voiture, le costume qui me serre un peu, les e-mails incessants, décidément ce premier « vrai » boulot est plein de nouveautés pour moi. Je viens de finir mes études de comptabilité, et après plusieurs stages dans des petites boîtes près de chez moi, il a fallu que je me décide à prospecter en ville pour trouver un CDI. J’apprends donc, je m’adapte, et je commence même à me plaire dans cette nouvelle vie.
    
    Le seul détail qui me perturbe encore tous les jours, c’est une femme qui bosse dans le même immeuble que moi. Je la croise régulièrement dans les couloirs ou dans l’ascenseur. Une petite femme blonde aux yeux verts, la quarantaine, à la silhouette toute en courbes et reliefs, à la coiffure impeccable et aux lunettes qui lui donnent un air strict. Je ne peux m’empêcher de scotcher sur ses tailleurs, d’essayer de glisser un œil dans ses décolletés toujours trop sages pour que je distingue quoi que ce soit… Je ne sais pas pourquoi elle m’obsède autant, mais elle est mon rayon de soleil de la journée. Elle ne m’a jamais remarqué et je ne fais rien pour, car je ne saurais pas quoi lui dire. Je ne sais pas comment elle fait pour me rendre dingue, je n’ai pourtant aucun problème à aborder et à ...
    ... tenter de séduire les femmes, mais elle m’intimide par son élégance et sa froideur.
    
    Me voici donc, comptable à 26 ans, sorti de mon village et de mes potes d’enfance. Heureusement qu’il me reste l’escalade pour me défouler et évacuer tout ce stress citadin. Ce mardi matin, je suis dans l’ascenseur en train de réfléchir à ma prochaine sortie grimpette avec mes potes quand mon petit soleil entre dans l’ascenseur et se tient devant moi, apparition divine. Comme d’habitude je scotche sur ses formes, son fessier est rond, et a l’air ferme dans son pantalon de tailleur gris. Elle porte de jolis sneakers en cuir noir, sur lesquelles un lacet est défait. Elle s’en rend compte, et se baisse pour le renouer. Et là, je manque de m’étouffer car mon regard plonge dans son décolleté, et j’aperçois un très joli soutien-gorge bleu qui emprisonne une poitrine que je devine généreuse, très généreuse même. Immédiatement, je sens mon sexe commencer à se raidir dans mon pantalon. J’ai à peine le temps de le repositionner pour éviter la « tente » bien visible que les portes s’ouvrent, et un groupe rentre dans la petite cabine, nous obligeant à nous serrer un peu. Elle est maintenant juste devant moi, son cul d’enfer à quelques centimètres de mon érection qui continue à se développer. Je dois être tout rouge, j’ai le cœur à 10 000. Lorsque l’ascenseur redémarre, il a un petit à-coup, et elle perd l’équilibre, reculant pour se rattraper. Et c’est ainsi que son cul se retrouve collé à moi, appuyant ...
«1234...33»