Perte de contrôle - Histoires de Sexe

Perte de contrôle

... fait le moulage hier soir. Encore bravo.

Une photo accompagne ce message, celle d’une chatte poilue avec le gode réplique enfoncé jusqu’à la garde. Je bande immédiatement en reconnaissant le sexe de la femme qui m’a baisé dans la librairie.

— Est-ce que j’ai envie de te garder maintenant que j’ai ta queue ? Je ne sais pas… Dis-moi pourquoi je devrais.
— Car une queue ne peut pas exécuter vos ordres à la lettre, Ma Dame, et car vous ne pouvez jouer que d’une seule manière avec juste une queue. Vous ne pouvez pas torturer du silicone.
— Haha bien répondu ! Je te garde. Et donc ça veut dire que tu aimes que je te torture ?
— Oui Ma Dame.
— Aimerais-tu aller encore plus loin ?
— Non Ma Dame. Pardonnez-moi, mais même si j’ai aimé tout ce qui m’est arrivé à part la cage, je n’ai pas envie d’aller plus loin.
— Tu ne veux pas te faire enculer, c’est ça ?
— Oui Ma Dame.
— Très bien. Mais dans ce cas, tu n’enculeras personne non plus.
— Bien Ma Dame.
— Bon, maintenant moi j’ai envie de jouir. Et pour ça une queue en silicone c’est presque aussi bien qu’une vraie. Continue à bosser, toi.

Diabolique ! Je retourne à ma compta en bandant comme un fou. Et bien évidemment, quelques minutes plus tard, une photo du gode réplique écartelant la chatte de Ma Dame fit vibrer mon téléphone, et mon micro slip bleu. Je ne reçois aucune autre nouvelle de la journée, et j’arrive enfin à rattraper mon retard. Alors que je suis dans les bouchons de sortie de la ville, la musique à ...

... fond dans ma voiture, un message :

— Je me suis régalée avec ton moulage. Tu es au volant là ?
— Oui Ma Dame, en plein embouteillage.
— Parfait. Envoie-moi une photo de toi. Le seul vêtement que tu peux garder c’est ton slip bleu. Tu as 15 minutes.

Par chance, le bouchon a disparu, et je recommence à rouler. Je me voyais mal me désaper au milieu de dizaines de voitures. Cinq minutes après, je sors de la voie rapide, et je me gare dans un petit chemin qui a l’air tranquille. Je retire pantalon et chemise aussitôt, je me sens très exposé ainsi, mais je prends vite une photo que j’envoie.

— Pas mal, mais tu ne conduis pas, là ? Je vois que tu es en pleine campagne.
— Oui Ma Dame, je me suis arrêté pour vous envoyer la photo.
— J’ai dû mal me faire comprendre. Maintenant, tu conduis jusqu’à chez toi ainsi, et je veux au moins deux photos pendant le trajet. Si tu finis au poste je viendrai peut-être te chercher, ajoute-t-elle avec un émoji clin d’œil. Et pour la peine, tombe le slip.

Je ne fais pas le malin, à traverser plusieurs bourgs, complètement à poil dans ma petite voiture. Mais cette situation m’excite. À un feu rouge, l’inévitable se produit et je vois deux femmes d’une cinquantaine d’années se préparer à traverser quand l’une d’elles me remarque. Elle ne voit que mon torse nu, mais je la vois donner un coup de coude à sa voisine, et elles me regardent fixement, sans traverser. Je dois être rouge comme une pivoine, j’ai chaud, et je bande. Le feu passe au ...