Périple en camping car 4 : Rencontres au Cap ferret
Datte: 04/10/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Yan Loutort, Source: Hds
... cherche mes lèvres. Lentement et doucement, ou vite et fort, tant que je peux, j’alterne les mouvements. Il fait chaud mais peu nous importe. Sophie jouit une première fois en poussant des petits cris et crie « Encore ! » Alors je continue, malgré les courbatures.
A un moment, je flanche et je me couche sur le côté. Sophie se tourne de dos à moi et m’offre son cul. Que dis-je son cul ? C’est une mappemonde ! Une double hémisphère vertigineuse ! Entre les fesses tendues vers moi, je vois le joli abricot tout lisse qui me nargue. Je me replante en elle et je repars pour une sarabande - j’aime ce mot – beaucoup plus confortable pour moi. Je peux la baiser longtemps et je ne m’en prive pas en lui apportant deux orgasmes supplémentaires, avant moi-même de succomber et de me vider en elle.
Ma petite chérie n’a pas l’air fatiguée, contrairement à moi. Privilège de la jeunesse. Elle se retourne vers moi et m’embrasse sur tout le visage et retrouve mes lèvres. Elle transpire et moi aussi, nos corps glissent sous nos mains.
- « Oh que c’était bon ! Tu es un merveilleux amant !
- Merci. Tu es gentille, mais je suis un vieil amant.
- Je me fous de ton âge. Tu m’as baisée comme un fou et j’ai jouis comme une folle. C’est merveilleux !
- N’exagère pas tout de même !
- Non ! J’adore ! Je t’.. » Je pose mon doigt sur ses lèvres.
- Ne dis rien. Rien de définitif. Ne confond pas le sexe et l’amour. On ne peut définitivement pas s’aimer, au moins longtemps. On peut ...
... aimer faire l’amour, baiser, mais ne rien envisager d’autre. On gardera ça comme un beau souvenir.
- D’accord ! Si je comprends bien, tu as eu ce que tu voulais et tu veux déjà arrêter.
- Pas du tout ! Simplement, je pose les règles. Il vaut mieux s’y tenir. Tu es très jeune et je te démontrerais que tu plais et que tu plairas aux hommes.
- Tu es gentil et j’ai confiance en toi.
- Tu veux rester ?
- Je voudrais, mais il faut que je rentre chez moi. Mes parents me surveillent.
- A ton âge ?
- Eh oui ! Ça ne fait rien pour arranger les choses ! Mais je travaille aussi demain matin. Il faut que je dorme et donc, que je rentre chez moi.
- Je comprends ! On prend une douche ?
- Sûrement pas ! Je tiens à garder ton odeur sur moi jusqu’à demain matin !
- Petite cochonne va ! »
Elle m’embrasse une dernière fois et s’en va. Après son départ, je me recouche mais je ne trouve pas le sommeil. Je suis passé d’un beau jeune homme de vingt cinq ans, qui pendant quatre jours m’a baisé, m’a humilié, mais j’ai adoré sa belle bite et son corps. A maintenant une jeune fille complexée de vingt-deux ans, plutôt ronde, qui est prête à m’aimer.
Quand je ferme les yeux, je vois mélangés, leurs deux corps. Contre moi, sur moi. Je finis tout de même par dormir.
Sept heures du matin. Je me lève. Petit déjeuner et toilette, puis je prépare mes affaires de plongée et à huit heures j’arrive sur la plage. Roger qui a ouvert l’établissement depuis quelques minutes, ...