1. Avec des amies comme ça… (20)


    Datte: 19/07/2019, Catégories: Trash, Auteur: Victor_lepieux, Source: Xstory

    ... me toucher la chatte et le cul sans encombre, et des chaussettes Snoopy. Comme haut, un T-shirt ultra-serré avec un motif Petit Poney. « Tu as l’air trop mignonne. Et en même temps, je suis sûr que Monsieur le papa de Victoria bandera bien fort en te voyant ! »
    
    Toutes ces tenues avaient un point commun, quiconque les portait ressemblait à la dernière des putes.
    
    « Alors ça te plaît ? demanda Hélène.
    
    — Oui, répondis-je faiblement.
    
    — Tu as enfin droit à tes tenues qui correspondent à ton caractère. Tu ne penses pas ?
    
    — Euh oui, j’ai vraiment l’air d’une grosse salope, je suis sûr que les gens ne peuvent pas se tromper.
    
    — Et bien sûr, n’oublions pas les accessoires. Déjà, ce magnifique plug à te fourrer dans le cul. Il te manquait je suis sûr... Et il y a ce collier. C’était celui de ma chienne, Fifi. Je suis sûre qu’il va t’aller parfaitement, ça te plaît comme nom « Fifi » ? On dirait pas… C’est vrai que c’est un peu sophistiqué pour toi, ma chienne savait faire des tours, elle était maline. Toi t’es même pas capable de rattraper des batons, t’arrive tout juste à les sucer…
    
    — Je serais honorée de m’appeler comme ta chienne, affirmais-je pour montrer que je valais quand même autant qu’une chienne.
    
    — Eh bien, tu peux commencer par nous remercier pour les beaux cadeaux qu’on t’a faits. Allez "Fifi", viens lécher tes maîtresses.
    
    Je remerciais donc chacune des filles par un cunnilingus. Je passais ainsi une bonne heure la tête fourrer entre des cuisses de ...
    ... mes amies à leur lécher la chatte pendant qu’elles discutaient des cours ou du dernier film qu’elles avaient vu. La seule fois où je fus mentionnée dans la conversation fut pour décider qu’elles m’amèneraient au cinéma la prochaine fois, elles étaient très excitées à la perspective que je les gnougnoute en public dans le noir.
    
    Mais d’abord, elles voulaient que j’étrenne mes habits "neufs". Je m’habillais pour sortir en vêtements "de ville". Me montrer dans les rues de la ville, habillée comme -il faut bien le dire- une pute me fit un drôle d’effet. J’avais l’impression d’être au centre de tous les regards, ce n’était d’ailleurs pas qu’une impression. Je voyais les hommes me mater ouvertement. Les plus jeunes avec envie, les plus vieux avec consternation. J’entendais les commentaires qu’ils faisaient sur moi : « Les jeunes filles d’aujourd’hui, toutes des salopes. » Et j’aurais été bien en mal de les contredire.
    
    Après s’être amusées à me voir me faire insulter par les habitants, mes amies décidèrent qu’il fallait corser un peu les choses. Que je ne devais pas simplement avoir le look, mais le comportement d’une salope. Pour cela, elles me demandèrent où était ma boulangerie habituelle et l’on s’y rendit. Le boulanger et son commis me regardèrent entrer, éberlués.
    
    Mes amies avaient été très spécifiques sur ce que je devais demander :
    
    « Je voudrais une bonne grosse baguette… Bien chaude. »
    
    Le commis rougit et choisit une baguette.
    
    « Oh… Il n’y en a pas des plus ...
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