1. Avec des amies comme ça… (20)


    Datte: 19/07/2019, Catégories: Trash, Auteur: Victor_lepieux, Source: Xstory

    ... chatte. Au bruit de plaisir qu’elle prenait, je savais que ma technique marchait. Puis lorsqu’elle me prit ma tête dans ses mains pour me pousser contre sa fente je me mis à dévorer sa chatte. Je me demandais combien de bites lui étaient passées dessus dans la journée, et si c’était plus "sale" d’être une pute et de servir de dépotoir à foutre, ou d’être la pauvre conne qui léchait la chatte qui avait servi de dépotoir à foutre.
    
    Mais autrement j’évitais de trop penser... je ne pensais même pas aux passants qui pouvaient traverser la rue et me voir en train de servir une pute à genoux. Il fallait que je me concentre, que j’analyse où porter mes coups de langue, quelle zone me semblait la plus sensible selon que sa respiration s’accélérait ou non. Son emprise sur ma tête se faisait plus forte... j’étais tout contre sa chatte, mon nez respirait les effluves de toutes les queues qui l’avaient pénétrée dans la journée. C’était une odeur de sexe crasseuse, de saleté lubrique, la saloperie à l’état pur.
    
    Je léchais, une vraie gouineuse... on aurait cru que j’avais fait toute ma vie. Soudain je sentis son humidité, et l’entendis crier alors qu’elle jouissait. J’avais fini et réussi. Du moins l’espérais-je...
    
    Je revins immédiatement sur l’artère centrale où la tapineuse faisait son métier, je vis le mac en train de regarder sa montre, je criais : « Arrêter le chrono ! C’est bon ! j’ai fait jouir votre pute ! » Je rougis en voyant les passants se retourner pour voir quelle ...
    ... traînée pouvait être aussi fière d’avoir gouiné la chatte d’une pute.
    
    Il regarda sa montre… et sembla impressionné, et peut-être aussi un peu déçu. « Étonnant, je ne pensais pas que des lycéennes pouvaient être assez salopes pour faire jouir aussi vite une de mes gagneuses. Il te restait encore trente secondes. » Bizarrement, je me sentis quand même flattée, mes amies avaient raison, j’étais une vraie salope. « T’as une bouche en or, ma fille. Donne-moi ton téléphone. »
    
    Je le lui donnais, un peu inquiète. Je le vis noter mon numéro, et pianoter quelque chose dans le mien. Quand il me le rendit, je lus qu’il avait ajouté une adresse : "Ton MAC"
    
    « Voilà, si j’ai une pute qu’il faut remplacer parce qu’elle la chatte malade d’avoir trop baisé, je t’appelle. Je suis sûr que tu feras du bon boulot. Et n’hésite pas à appeler, je peux te trouver un bout de trottoir où tu pourras te faire un peu d’argent de poche. Et maintenant casse-toi, pétasse, avant que je décide de te péter le cul quand même.
    
    Je m’enfuis. J’avais une boule au ventre. Mais je me rassurais, je ne pouvais pas devenir sa pute ! il n’avait aucun moyen de m’y obliger. Et puis mes amies allaient me protéger, non ? C’est vrai qu’elles m’avaient lâché aujourd’hui… mais c’était l’exception qui confirme la règle, non ?
    
    Le soir, je passais une partie de la soirée à nouveau à genoux. Ma "tenue décontracté" plaisait en effet à André qui ne se laissait pas de me peloter, ébahi par la transparence des vêtements, ce ...