1. Les mecs du samedi soir


    Datte: 29/09/2024, Catégories: f, fh, hhh, fhhh, inconnu, parking, boitenuit, danser, voiture, hsoumis, fdomine, humilié(e), ffontaine, Masturbation intermast, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hsodo, pastiche, Humour Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... si une fois dégorgés, certains restent utilisables. Bon, c’est rare qu’ils deviennent plus patients, ou qu’ils se mettent à inventer des trucs inédits. Mais, quand ils sont bien chauds dans notre lit, ou sous une porte cochère en cas d’urgence, c’est bon qu’ils se donnent à fond. Leurs muscles bandés et leurs coups de boutoir nous retournent de plaisir, et ça c’est mythique.
    
    Pour peu qu’ils craquent au bon moment, leur fragilité est même assez irrésistible. Je pourrais jouir rien que de voir un mec au sommet de l’effort, terrassé par la première giclée. J’adore les mecs qui ont le regard d’un enfant devant une vitrine de Noël au moment de lâcher leur jus. Pour autant qu’ils gardent les yeux ouverts. Si seulement ils pouvaient assurer de même le lendemain matin, et surtout le lendemain du lendemain. Du genre à se mettre à nous aimer autant qu’ils nous désirent.
    
    Il y a aussi des soirs où on veut juste rester seule avec soi-même. Suffit alors d’une vidéo ou d’un bouquin, de fringues qui connaissent toutes nos déprimes et de la bouffe qu’il ne faudrait pas. Un long téléphone avec un ex, à évoquer des baises passées, c’est bien aussi. Ou un tour sur la toile, à lire une histoire chaude ou à clavarder avec un inconnu. Si c’est dans nos humeurs du moment, et que le type écrit sans fautes, ça suffit pour mettre des fourmis dans les doigts.
    
    En quelques messages, on se décrit telle qu’on se voudrait, avant de caresser celle qu’on est vraiment, dès que les mots font trop envie. ...
    ... Coule la mouille et bandent les tétons. Il ne manque plus que quelques coups de patte pour qu’on explose comme une bombe de la Saint-Sylvestre.
    
    Après, ce que je préfère, c’est un bain chaud avec une tasse de chocolat maison. À la lumière des bougies, ma chatte entre deux envies, je me laisse caresser par la flotte. Je regarde mon corps comme si ce n’était pas le mien. Je suis sympa avec mes petits défauts, je prends le temps de m’aimer, comme je voudrais qu’un mec le fasse, un jour.
    
    Le pied géant, c’est de poser ma main entre mes cuisses et de faire des vagues contre mes lèvres encore gonflées. Les clapotis me bercent, mon plaisir remonte lentement. Je me laisse complètement aller ou je réveille mon clit’ de quelques secousses des doigts. La torpeur me gagne. Sans la boule qui gonfle dans mon ventre, je pourrais presque m’endormir. Tenir comme ça, sur un fil, c’est trop bon. Mais le top du top, c’est quand ça part dans tous les sens, sans le vouloir. Là, c’est trop génial comme sensation, mieux que la langue d’un mec sur ma fente, juste avant que je me réveille. Enfin, tout dépend du mec.
    
    Finalement – et c’est en fait où je voulais en venir depuis le début –, il y a aussi des nuits où on a envie que tout se mélange. Et là, si j’étais un mec, je prendrais peur. Parce que dans cet état, on n’est vraiment pas sortables. On part en chasse à deux ou trois, et le pauvre gars qui nous tombe entre les pattes, on lui fait sa fête.
    
    Je ne me souviens pas de la première fois ...
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