1. Les mecs du samedi soir


    Datte: 29/09/2024, Catégories: f, fh, hhh, fhhh, inconnu, parking, boitenuit, danser, voiture, hsoumis, fdomine, humilié(e), ffontaine, Masturbation intermast, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hsodo, pastiche, Humour Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    Nous, quand on a envie de sortir pour s’éclater, c’est vraiment pour s’éclater. Donc sans les mecs. On part en boîte à trois ou quatre, on met des nippes qui nous plaisent et vogue la galère.
    
    Question fringues, ce que je préfère, c’est un haut dans lequel mes seins s’épanouissent, une jupe ultra courte pour sentir la caresse de l’air le long de mes cuisses et des dessous déjantés, ou franchement ringards, dont j’arrive pas à me séparer.
    
    Après, il suffit d’une sono qui arrache, de bonnes vibes tout autour et de quelques drinks qui mettent le feu au ventre pour que la soirée décolle. On ne voit même pas les gars agglutinés autour du bar. D’ailleurs, il n’y a rien de très flamboyant à attendre d’eux. Surtout quand ils n’arrêtent pas de se toucher, comme si ça nous faisait envie. À moins que ce soit pour se rassurer, va savoir.
    
    Ces nuits-là, on danse à en tomber. Nos corps se déchaînent, la musique nous excite, on transpire par tous les pores. C’est vraiment la fête.
    
    Souvent, en cours de soirée, on a comme une envie de câlins. De vrais câlins, doux, chauds, coulants. Surtout pas d’être envahies par des mains toutes sales de doigts. Rien que des trucs lisses. Ce n’est pas qu’on veuille se gouiner vraiment, c’est juste une envie de caresses de filles. On voit bien que ça excite les mecs, mais on s’en fiche. C’est notre soirée à nous. Pas envie de corps étrangers dans nos plaisirs.
    
    D’autres fois, c’est tout le contraire, on a envie d’un mec, à en crever. Celui du ...
    ... moment, ou un autre, peu importe à vrai dire. Ces nuits-là, c’est plus la queue qui compte, pas ce qu’il y a autour. On met des nippes dans lesquelles on se sent reine, et qui les font bander un max. Un minimum d’étoffe, pour cacher ce qu’on veut qu’ils tripotent en premier, et quelques barrières infranchissables, ou presque, pour ce qui va résister un peu.
    
    L’idée, c’est qu’il puisse dire aux copains « Ouah, les gars, j’ai trop assuré, j’te jure ! J’y ai arraché son top d’une seule main. Elle est devenue comme folle, j’savais plus comment la calmer ! ». Ce qui implique des dessous pas trop dommages, genre à usage unique, mais intense. À cause du sperme séché qui laisse des traces, parfois.
    
    Ces nuits-là, si on n’est pas venues en couple, on lève le plus mignon qui traîne au bar. Une jolie crinière, des bras musclés, des fesses croustillantes, ça suffit pour que la soirée décolle. On danse d’abord à distance, pour qu’il puisse mater et s’en mettre plein les burnes. On lui montre tout ce qu’on sait faire avec les hanches, et les fesses. Surtout les fesses, pour le faire rêver. Et quelques secousses qui font frémir les seins.
    
    Après, on la joue collé-serré, on le laisse balader ses mains sur nous, le ventre bien calé contre sa bite. Si c’est un soir comme ça, c’est bon de se laisser pétrir. On s’en fiche de sa maladresse et de ses hésitations, on en tirera bien ce qu’on en veut le moment venu.
    
    Faut juste garder la maîtrise du jeu. Pas qu’il monte les tours trop vite. Même ...
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