Le cunnilingueur
Datte: 19/07/2019,
Catégories:
Mature,
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... d’une puissante odeur d'océan, d'algues en décomposition, de sable mouillé. Jamais une hygiène défaillante ne m'a repoussé.
Il m'est déjà arrivé de sucer des femmes âgées, vivant seules dans des taudis, et très sales. Je leur ai offert, entre leurs cuisses ridées, l'une des rares lumières de joie de leur pauvre existence. Car la chatte est mon unique passion.
Pour en revenir à Christine, elle sécrétait de la cyprine au point que de grosses gouttes s’écrasaient une à une sur le plaid de mon lit. Autour de son vagin abondaient des glaires incolores, parfumées et gluantes, que je buvais avec soin. C'était fantastique. J'aspirais (à tous les sens du terme), plus que tout au monde, à la faire jouir et si possible crier de joie, quitte à courroucer ma mère.
Comme il est difficile de bien lécher un sexe féminin ! Déjà, éviter absolument tout contact avec les dents. Ne pas se jeter sur le clitoris. Cette erreur, déjà commise sur Rose, risque de rendre la femme chatouilleuse au point de refuser ensuite tout attouchement. Commencer par les grandes lèvres, puis suçoter les nymphes qu'elle avait très longues - et non pas coupées comme le font, d'une manière absurde, certaines actrices porno.
Puis j'ai exploré l'entrée vaginale qui avait une belle forme, celle d'une maman ayant déjà subi deux épisiotomies plus ou moins bien recousues : l'entrée de la grotte aux merveilles qui, pour moi, restait interdite. Enfin, j'ai accosté avec prudence le petit bouton des joies féminines. ...
... Christine, qui appuyait d'une main sur ma nuque afin de me guider, a tressailli, mais n'a pas protesté. L'extrémité de ma langue a tourné autour du divin totem. Non pas sept fois comme pour réfléchir avant de parler, mais au moins soixante-dix-sept fois. J'ai vrillé directement sur ce petit morceau de chair écarlate. Puis j'ai balayé, en cadence.
La jouissance n'est survenue qu'après de longues minutes de ce soin délicat. Elle a d'abord monté progressivement, puis s'est déchaînée dans un feulement de chatte énamourée. Mais sans trop de décibels. Sur ce point, j'étais déçu. Avec le temps, j'ai appris à perfectionner ma technique afin de conduire ma partenaire à plusieurs orgasmes en vagues successives, à chaque fois plus hautes, jusqu'à l'extase où elle a l'impression de quitter son corps, jusqu'à la petite mort où la vie semble l'avoir temporairement abandonnée.
Mais, ce jour-là, je balbutiais encore dans ce domaine, et n'avais obtenu qu'un résultat médiocre. Elle a par contre serré très fort les cuisses autour de ma tête qui était comme broyée dans un étau. Elle s'est excusée pour ce réflexe emporté, mais cela ne me dérangeait pas du tout d'avoir mal pour qu'elle ait du plaisir. En même temps, elle battait des pieds comme un petit enfant joyeux. J'ai trouvé cela charmant.
A la fin, tout étourdie par son orgasme, elle avait le cœur qui battait très fort et les yeux qui brillaient, comme si elle pleurait. C'était ma récompense. Je n'en voulais pas d'autre, et n'étais ...